Une mère pas comme les autres... (17) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (17)

... reprendre le contrôle de mes émotions face à ces deux furies avides de sexe et de stupre.

- Vous pouvez arrêter lorsque vous le déciderez, mesdames !

Maman ouvrit les yeux, en même temps qu’Anaïs, pour se rendre compte qu’elles s’étaient déconnectées de la réalité, à leur tour. Le plaisir les avait emportées loin de la pièce où elles se trouvaient.

C’est Maman qui reprit la parole la première

- Mmmhhh..quel délice, Anaïs ! Tu es décidément torride. Tu m’excites sérieusement et efficacement, petite dévergondée ! Dit-elle en riant.

- J’en ai autant à ton service, Sylvie ! Tu m’excites à un point que je n’imaginais pas. Moi qui ne suis, d’ordinaire, pas attirée par les filles, je me surprends à te désirer au point de dégouliner dans mon string.

- Et je vois que notre amant est dans le même état ! Dit Maman en lançant un regard vers moi.

Elles tournèrent la tête ensemble vers ma queue tendue à l’extrême. Je venais de retirer mon short afin d’être plus à l’aise, mon sexe me faisant un peu mal tant il était excité par ces deux femmes sans limites aucune.

- Maître ? Un autre désir ?

- Non ! Pas pour l’instant. J’ai un peu peur de ne pas tenir la distance avec deux femmes comme vous ! Je dois ménager mes forces car je ne suis pas encore qu’un sprinter, pas un coureur de fond ! Je manque sérieusement d’entraînement ! Alors si vous avez une proposition à me faire ? Dis-je en souriant.

Je vis alors Maman se pencher vers l’oreille d’Anaïs et lui murmurer ...

... quelques mots. Celle-ci acquiesça rapidement en me souriant comme si elle allait me dévorer tout cru.

- Mais quelle excellente idée, Sylvie ! J’en meurs d’envie. Nous pourrions même partager le résultat, qu’en penses-tu ?

- Je n’osais pas te le proposer, Anaïs ! Mon chéri ? Veux-tu, s‘il te plaît, t’asseoir confortablement ?

- Bien sûr ? Pourquoi ?

- Tu vas voir, vilain curieux ! Me répondit Anaïs en riant. Mais je suis certaine que tu vas adorer la suite du programme.

- Vas dehors ! Il fait encore bon et nous serons plus à l’aise, Anaïs et moi !

- Mais que voulez-vous faire ?

- Un peu de patience, jeune étalon ! Mais je te conseille de retirer ton boxer et ton tee-shirt ! Cela pourrait t’ennuyer ! Me dit Maman avec un sourire jusqu’aux deux oreilles.

Quelques instants plus tard, j’étais assis dans un transat, sur les bords de la piscine dont l’éclairage sous-marin venait de s’allumer, sous un ciel entièrement limpide rougissant lentement et dans lequel les premières étoiles scintillantes venaient d’apparaître.

Quelques lampes éclairaient les sentiers du jardin, lui donnant une atmosphère parfaitement romantique.

Il faisait très doux et pas un bruit ne nous parvenait, à l’abri de notre clôture végétale, imperméable au monde extérieur.

- Mon chéri ! Anaïs et moi avons bien compris que nous ne devons pas aller trop vite, même si tu sembles avoir repris du poil de la bête et être prêt à nous honorer convenablement ! Alors, nous allons y allez ...