Une mère pas comme les autres... (17) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (17)

... signe qu’elle avait compris mes attentes.

Sylvie ouvrit la bouche et sa langue en sortit avec une lenteur toute calculée. Anaïs, comprenant certainement sa requête, agit de même. Je pus admirer avec un délice non dissimulé ces deux langues s’emmêler et se caresser entre les lèvres ouvertes. Puis, Anaïs posa ses lèvres ouvertes sur celles de Maman et elles entamèrent un baiser passionné. Les deux femmes ouvrant et fermant la bouche en rythme synchronisé, faisant entrer, chacune à leur tour, leur langue dans la bouche de sa partenaire.

Ce baiser dura une longue minute, alternance entre des coups de langues et des lèvres scellées, et me mit dans un état d’excitation incroyable.

Je ne sais ce qu’il me prit, mais j’eus envie de plus. Alors, je le leur dis

- Vous êtes parfaite, mais j’en veux encore plus. Je ne bande pas encore suffisamment. Êtes-vous d’accord de me montrer plus ?

Sans que les bouches ne se quittent, elles hochèrent la tête simultanément dans un petit râle de désir, me prouvant que je pouvais tout essayer avec elle.

- Alors j’aimerais voir vos mains caresser vos propres poitrines durant cet échange. Excitez-moi !

- Mmmmhhhh…. ! Me répondirent-elles en même temps.

Je vis Anaïs agripper sa poitrine en une seconde. Je savais qu’elle adorait cela. Elle passa ses mains sous les bonnets de sa lingerie et caressa ses seins rebondis. Ma queue se tendit d’un seul coup.

Lorsque Sylvie entama le même ballet sur ses propres seins, je crus que ...

... j’allais éjaculer.

Toutes les deux étaient cambrées, faisant ressortir leurs seins qui pointaient vers leurs opposés. Leurs mains frottaient leur peau si sensible, étirant un téton, pressant les seins l’un contre l’autre.

- Mmmmhhh…..

- Oooohhhh….

- Ouiiiiii……

Furent les seuls mots et bruits qui me parvenaient en dehors des petits sons de leur baiser qui continuait.

Maman pressa ses seins l’un contre l’autre et Anaïs, devinant le geste en sentant les seins de Sylvie effleurer les seins, agit de même.

Les bonnets du soutien-gorge d’Anaïs touchèrent alors les tétons érigés de Maman qui en profita pour les frotter contre le tissu et la dentelle de la lingerie.

Maman et Anaïs redoublait d’intensité dans le baiser tout en pressant leur propre poitrine, faisant en jaillir les extrémités dans un mouvement d’un obscénité jouissive, l’une contre l’autre.

Ma queue était tellement tendue que je la pris en main et entama un mouvement de masturbation que je pensais libérateur mais qui, à ma grande surprise, ne me fit pas éjaculer d’un coup comme je l’imaginais, mais renforça plutôt mon excitation sans pourtant m’amener vers l’orgasme.

Je regardais, pour la première fois de ma vie, en mâle dominant deux femmes se donner du plaisir et je ne jouis pas comme un simple puceau. Je contrôlais la situation qui était d’une perversité et d’une luxure sans nom.

Alors que quelques instants plus tôt, je me morfondais face à une situation qui me dépassait, j’avais réussi à ...