Une mère pas comme les autres... (17) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (17)

... m’épouser, certes. Et je t’ai promis de laisser libre-court à tes fantasmes et tes désirs. Mais ne me prends pas pour un perdreau de l’année. Ce sera à mes conditions.

- Tu n’as pas à…

- Si, j’ai ! Justement ! Maintenant, cela suffit ! J’ai eu un moment d’égarement ! Et j’en aurai encore si la colère prend le dessus. Surtout lorsque tu sous-entends à nouveau que ce ne serait pas ton premier trio sexuel alors que ce sera le mien. Mais ne prenez pas cela pour de la faiblesse. L’adaptation est rude et difficile pour un type simple comme moi. Mais j’ai relevé des défis bien plus délicats. Alors ne jouez pas à ce jeu avec moi, vous perdrez ! Est-ce clair ?

- Je te retrouve, là ! Tu es tel que nous l’envisageons, n’est-ce pas Anaïs ? Me dit Maman avec un sourire d’une grande tendresse.

- Oh oui ! C’est ainsi que je craque pour lui littéralement. Pardonne-moi de t’avoir provoqué, mon chéri ! Mais c’est un homme que je veux pour mari. Pas autre chose. Et cet homme, je veux que cela soit toi ! Sois mon Maître ! Et pour te rassurer, sache que je n’ai jamais fait cela auparavant. Pour moi aussi, ce sera une première.

Je venais de reprendre le dessus.

Il est vrai que ce que Sylvie et Anaïs venaient de démontrer était la plus stricte vérité. J’étais encore parfois trop timoré et trop peu sûr de moi face à ces deux femmes exceptionnelles. Je savais que la moindre faille serait exploitée à mon désavantage. Mais c’était le prix à payer pour vivre parmi elles, Maître de ...

... ces corps somptueux et de cette luxure permanente.

Je me levais de ma chaise, droit et fier, et je fis un pas vers elles.

Je les pris par la main, chacune à mes côtés et je dis

- Scellons tout cela, voulez-vous ?

- Comment ? Me demanda Anaïs.

- Embrassez-moi !

Anaïs avança son visage mais je reculais en disant

- Vous n’avez visiblement pas compris ! En même temps !

Elles se regardèrent puis, avec un sourire entendu, approchèrent chacune leur visage du mien.

Pour la première fois, et pas la dernière, Anaïs, Maman et moi échangions un baiser passionné.

Nos langues sorties, c’est un ballet à trois qui s’enchaîna. Chacun touchant la langue des autres durant quelques secondes pour, enfin, que nos lèvres se touchent.

Ce baiser fut, a contrario, le plus romantique que j’ai connu dans ma vie.

Il signait un accord tacite entre les participants. Je serai le Maître et elles seraient mes soumises, pour leur plus grand plaisir.

Je me reculais alors en posant une main sur leurs cheveux et je poussais lentement et avec une précaution toute particulière leur bouche l’une contre l’autre.

- Embrassez-vous langoureusement et avec volupté. Je veux que ce baiser dure longtemps et me fasse bander.

Maman me regarda avec admiration et d’un petit signe de tête approuva mon choix.

J’étais à quelques centimètres de leur visage, observant attentivement que mon désir soit respecté à la lettre.

Anaïs ouvrit les yeux et, me regardant à son tour, me fit un ...