1. Ardente Afrique


    Datte: 23/09/2021, Catégories: couleurs, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, initiatiq, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... quelques baies étranges. Il lève les filets des poissons et les fait mariner quelques instants avec sa cueillette. Puis il m’en tend un morceau. C’est une première pour moi, le poisson cru ainsi. Mais mon appétit est grand, et je trouve ça bon. Il s’en rend compte, et son air anxieux se meut en un sourire qui me fait chavirer. J’ai vraiment cet homme dans la peau !
    
    Il fait nuit lorsque nous finissons nos agapes bio. Me prenant par la main, il me ramène dans notre chambre à coucher. Sans natte ni lampe, nous repérons un coin où un peu de sable adoucit la dureté de la pierre. Fourbue par cette journée inoubliable, je m’endors dans ses bras. J’ai le sommeil agité, je rêve à une horde de sauvages me poursuivant pour me violer. Lorsque je me réveille, je n’entends que le bruit réguler de la chute d’eau. Je sens la chaleur du corps de mon amant tout contre moi, ses bras qui m’entourent et me protègent. D’une main hésitante, je lui caresse les abdominaux. Je glisse vers son ventre, soulève l’élastique de son short. Je sens son membre, pour une fois au repos, frémir dans ma paume. J’esquive quelques allers-retours sur sa longueur, il prend vigueur instantanément. Miracle de la virilité d’un homme, qui passe de recroquevillée et molle à orgueilleuse et dure ! Il me laisse flatter son engin, puis me soulève, me met à quatre pattes et se glisse en moi. Agenouillé, il entame une cavalcade effrénée, il est mon étalon, et je suis sa pouliche. Ses mains saisissent mes seins, les ...
    ... triturent sans douceur, puis se posent sur mes reins, les crochètent âprement. Ce soir, il est mâle dominant, je suis femelle soumise. Je sens qu’il se cabre, je rejette mes reins vers l’arrière pour mieux sentir son pieu. Il se déverse en moi, en longs jets surpuissants, je l’inonde de mes sucs. Nous nous affalons, imbriqués et repus.
    
    Il fait déjà jour quand il me réveille. J’ai les reins courbatus par ses ruades intenses. Il me donne un peu de purée de manioc, traditionnel petit déjeuner local. Je ne l’ai même pas entendu se lever pour ramasser ces légumes sauvages. Il me dit qu’il doit partir en reconnaissance, que je dois l’attendre sans sortir. Il s’évade. Je ne me sens pas faite pour ce rôle de femme au foyer, dans cette atmosphère humide qui abrite nos ébats. Et, d’un seul coup, une pensée m’obsède : pour la première fois, hier soir, nous avons fait l’amour sans nous protéger, ma chatte gluante de son suc en témoigne. J’ai laissé mes préservatifs dans ma case. Or, je suis à l’orée de mon ovulation. Je fais et refais mes calculs, comme je les enseigne aux villageoises. C’est vraiment limite. Ce soir, je ne peux pas recevoir sa semence, c’est sûr. Mais je ne peux pas ne pas le récompenser en lui donnant mon corps. En plus, j’en tire un infini plaisir. Alors, une idée me vient : lui ouvrir la partie de mon corps que je ne lui ai pas cédée jusque-là et qui n’est pas fertile. Le problème est que chaque fois que j’ai cédé sur ce point à mes ex qui rêvaient de cette voie, non ...
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