1. Far from Big Apple


    Datte: 01/08/2018, Catégories: fh, 2couples, fbi, handicap, voiture, autostop, amour, noculotte, policier, aventure, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... petit triangle sombre de sa forêt intime, parfaitement délimitée, puis la fente de l’abricot dodu, la vallée délicieuse où pointe le délicat frisottis du coquillage, visiblement déjà envahi par la marée montante d’un désir brûlant. Les yeux plissés, la maligne affiche un sourire fripon. Cuisses écartelées, son sexe parfaitement exposé désormais, Lilly glisse sa main sur son ventre, pointe un index léger qui s’insinue dans la vallée submergée, déplie les petites lèvres, débusque le bouton. Glissant son autre main dans son chemisier diaphane, Lilly caresse ses seins, en agace les tétons pointus, effleure les petits chapeaux hérissés. Le chemisier s’ouvre, Lilly s’en défait avec grâce, exposant les globes parfaits de ses seins prodigieux.
    
    Sarah se rapproche, se cale contre sa nouvelle amie, glisse sa main entre les cuisses ouvertes, mêle ses doigts à ceux de Lilly et branle doucement la petite chatte offerte.
    
    — Mais dis donc, tu es complètement trempée, dit-elle d’une voix soudain basse.
    
    En guise de réponse, Lilly glisse son bassin en avant, posant ses fesses au bord du canapé. Écartelée, elle offre le spectacle de son sexe ruisselant. À son tour, elle plonge sa main entre les cuisses de sa partenaire, l’oblige à s’ouvrir. Les deux femmes se rapprochent, leurs bouches se cherchent, se frôlent avant de se souder enfin. Dès lors, les deux jeunes femmes s’animent avec passion. Leurs mains parcourent leurs corps, lutinent la poitrine ronde et fière de Lilly, les petits ...
    ... seins tendus de Sarah qui monte à genoux sur le canapé, obligeant sa partenaire à s’allonger. Une tendre lutte oppose désormais les deux filles qui se saoulent de caresses, de baisers, de tendresse. La jupe de Lilly représentant l’ultime obstacle à leurs ébats, Sarah l’en débarrasse. Le tissu glisse sur les cuisses fuselées, franchi les chevilles avant de tomber au sol. Totalement nues désormais, les deux femmes s’observent un instant, se délectent chacune des formes de l’autre, avant de reprendre leur corps à corps lascif.
    
    John-John et moi ne sommes évidemment pas indifférents. Debout, nous nous déshabillons lentement, sans rien perdre du spectacle offert. Nus à notre tour, nous nous approchons des deux jeunes femmes. À cinquante centimètres d’elles, nos membres au garde-à-vous, nous nous branlons doucement en savourant l’exhibition. Lilly est complètement allongée sur le canapé, cuisses ouvertes, Sarah, à quatre pattes, la surplombe. Penchée en avant, elle butine les seins tendus et branle de plus en plus énergiquement la chatte ruisselante. Ses doigts entrent et ressortent de la caverne enchantée, se perdent dans les reliefs nacrés de la moule pour le plus grand plaisir de Lilly qui malaxe avec vigueur les petits seins de son amie. Avec son cul relevé, Sarah est tout à fait bandante : entre ses cuisses fuselées se dessinent les contours de sa chatte entrouverte par le désir et qui scintille de toute la mouille qui l’inonde.
    
    Je ne résiste pas à glisser mes doigts ...