Far from Big Apple
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
fbi,
handicap,
voiture,
autostop,
amour,
noculotte,
policier,
aventure,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... piaule !
Émoustillée par les perspectives ouvertes, Lilly vient de glisser sa main entre mes cuisses et me caresse doucement.
— Et ça ne te gêne pas de …
— Non, sauf si ça te gêne toi !
— Moi, mais tu plaisantes ! J’en ai vu d’autres, t’imagine ! Et il est plutôt mignon John-John. Mais tout de même, un soir de "fiançailles"…
Elle insiste sur ce dernier mot, m’observe pour voir si je tique.
— …tu préférerais peut-être que je m’occupe de toi plutôt que m’envoyer en l’air avec un inconnu !
— Franchement, c’est vrai que le moment n’est peut-être pas idéal. On peut pas parler de romantisme échevelé ! Mais une occasion de s’amuser comme çà ne se présente pas tous les jours. Et puis, j’aurai TOUTE la vie pour m’occuper de toi, si tu le veux bien …
— Oh, bien sûr, que je le veux ! Je t’aime, Al !
Très câline, Lilly me glisse une série de bisou dans le cou alors que sa main experte dessine le relief de ma verge tendue sous le tissu.
— Dis voir, tu crois que je dois faire comme Sarah ?
— C’est-à-dire ?
— J’enlève mon string ?
— Ben ma foi, ce n’est pas une mauvaise idée.
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Le petit vêtement glisse le long de ses interminables jambes avant de disparaître dans le sac à main. Et pour faire bonne mesure, la coquine se défait un instant de son chemisier pour enlever son soutien-gorge.
Et c’est ainsi que nous nous retrouvons dans le salon, les deux gonzes assises sur le canapé, John-John et moi en face d’elles, dans de confortables ...
... fauteuils. Une série de Budweiser est alignée sur la table basse et Sarah fait le service. Penchée en avant, elle fait sauter les capsules et la bière mousse dans les verres. Dans cette position, ses seins paraissent prêts à jaillir du décolleté et son entrejambes est relativement exposé. Je jette un coup d’œil à John-John qui sourit :
— Mignonne la petite chatte, non ?
— J’avais déjà remarqué, au resto…
— Salopard, plaisante John-John, tu t’es rincé l’œil en douce et moi, je ne m’en doutais même pas !
— Tu parles Charles ! Me prends pas pour une bille. Et toi, tu t’es pas gêné pour reluquer les nibards de Lilly ?
— Jolis seins je dois dire, et j’apprécie la disparition du soutif, mais je n’ai pas eu droit a plus…
— Dis moi, elle se balade souvent sans slip, ta femme ?
La blonde Sarah ne lui laisse pas le temps de répondre :
— Hey, moi, j’étais habillée très sagement, au départ. Si Lilly n’avait pas exhibé ses seins, je ne serais pas allé aux toilettes pour me débarrasser de mes sous-vêtements. Mais Monsieur, elle désigne John-John, la dévorait des yeux. Il fallait bien que je reprenne l’avantage…
— N’empêche que, côté foufoune, c’est pas ton homme qui en a profité, c’est Al, lui rétorque Lilly.
— John aussi, dans la mesure où je lui avais glissé à l’oreille que j’étais cul nu. Rien que de le savoir, ça devait bien le faire bander. Et de savoir aussi que le voisin profitait du spectacle.
John-John sourit. M’adressant à lui, je lui lâche un peu moqueur :
— ...