Far from Big Apple
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
fbi,
handicap,
voiture,
autostop,
amour,
noculotte,
policier,
aventure,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... Mon cher John, je peux te dire que je ne m’en suis pas privé. Et j’ai apprécié, et j’apprécie encore…
— Hey, mais c’est vrai çà, c’est toujours les mêmes qui en profitent !
Se tournant vers Lilly, Sarah lui pose sa main sur la cuisse.
— C’est vrai que tu pourrais faire un petit effort. Tu vas la garder toute la soirée ta culotte ?
Avec un grand sourire coquin, Lilly ouvre son sac à main et en extirpe le minuscule string qu’elle brandit comme un trophée.
— Ah mais tu l’as enlevée, s’exclame Sarah un peu dépitée. J’aurais bien aimé le faire moi-même !
— Avec les dents, plaisante Lilly.
— Et pourquoi pas ! Mais alors, tu nous la montres ta foune ?
— Non, mais t’es folle, minaude Lilly. Et puis moi, je l’ai pas vue, la tienne !
Se levant d’un bond, Sarah déboutonne sa jupe qui tombe illico sur le tapis. Se plantant face à Lilly, elle demande :
— Et là, tu la vois assez ?
— M’oui, répond Lilly d’une petite voix.
Se calant alors contre le canapé, Sarah écarte les jambes, pousse son bassin vers Lilly qu’elle attrape par les épaules, l’obligeant à approcher son visage à quelques centimètres à peine de son sexe.
Depuis nos fauteuils, John-John et moi n’avons que l’envers du décor : les fesses bien pommées et bronzées de Sarah, les mains de Lilly qui s’y agrippent, les cuisses écartées de la blonde, le dessin de ses lèvres charnues, et la langue de Lilly qui s’active sur ce sexe juteux, apparaît, disparaît entre les lèvres qui s’ouvrent. Spectacle torride ...
... !
Alors que Sarah enlève son chemisier, John-John extirpe son membre qu’il commence à branler doucement. Je lui emboîte le pas, libère mon pauvre Popaul au bord de l’asphyxie dans l’environnement confiné de mon jean.
Sarah, toujours debout, légèrement penchée en arrière, se caresse les seins et ondule doucement sous les caresses précises de Lilly. Lorsque celle-ci lui glisse une main par l’arrière, sous les fesses et vient ajouter aux succions de sa bouche affamée l’expertise de ses doigts, Sarah accuse le coup, se penche brutalement en avant en expirant bruyamment. Puis, se cambrant à nouveau, elle presse la tête de Lilly contre sa chatte, l’étouffant presque dans ses chairs, la noyant dans sa mouille. Elle subit avec un délice évident le doux supplice avant de s’écarter, un peu étourdie par tant de fougue. Alors qu’elle se rassied sur le divan, elle garde sa main plaquée sur sa chatte, pour en calmer le feu dévorant.
— Oua-hou, souffle-t-elle, quand tu t’y mets…
Retrouvant son calme, Sarah glisse :
— Dis donc, petite garce, je suis complètement à poil maintenant, les mecs sont là, flamberges à l’air, et toi, sainte-nitouche, tu restes sagement assise les mains sur les genoux ! Tu vas te décider oui ou non ?
Avec un petit sourire malin et en calculant ses effets, Lilly écarte un peu les jambes, lentement, remonte un peu sa jupe. Le compas de ses cuisses s’élargissant, sa petite chatte apparaît, petit à petit, pour le plus grand plaisir de tous. D’abord le ...