1. Laurent & Sophie à la plage (5)


    Datte: 30/07/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... commençais à fatiguer, ma tête était dans le vide de l’autre côté de la table à l’opposé de mes jambes et Jimmy introduisait dans ma bouche des tas de biscuits qui me gavaient.
    
    Nous passâmes enfin à table et Monsieur me releva délicatement.
    
    Il était dur quelquefois, mais toujours juste avec moi. Il me fit passer au sol et me guida jusqu’à la table où il m’attacha à sa chaise. Je me couchai sur le ventre.
    
    Je me reposais et je crois bien que je m’endormis un moment. C’est la voix de Madame ou bien mon prénom que l’on appelait qui me réveilla. Toujours est-il que l’on me proposait des morceaux de nourriture sous la table, comme à un chien ! Mon maître me détacha et je quémandais à droite et à gauche ma pitance. Bien sûr, ce n’était jamais gratuit et je subissais pour chaque bouchée, des doigts dans la chatte, des pincements de tétons ou bien encore des claques sur les fesses.
    
    Je réussis à faire un repas complet et récoltais moult caresses en retour. La fin du repas était proche et les alcools avaient été nombreux, ce qui engendrait un risque pour moi, qui ne tarda pas à arriver.
    
    Je dus sucer sous la table plusieurs bites dressées, en même temps que ma langue inventoriait des vagins pas toujours bien épilés. Chacun et chacune voulaient ma bouche et je n’en finissais pas de l’avoir envahie de cyprine et de sperme.
    
    Je n’avais pas soif à la fin de mes prestations !
    
    Le dessert arriva ; nous retournâmes au salon. Un dernier verre d’alcool et les cigares ...
    ... circulèrent. J’étais une nouvelle fois l’objet de tous les intérêts et Médor, excité par ses maîtres, avait déjà une érection digne d’un petit âne !
    
    Pour corser le spectacle, Laurent réclama que le cabot me prenne comme un homme, à la missionnaire !
    
    Les mâles me portèrent en hauteur afin que le chien puisse me pénétrer de face. J’avais sa gueule près de mon visage, et même une des femmes réclama que ‘’je lui roule une pelle’’!
    
    Le mouvement était plus le fait des hommes qui m’empalaient sur le sexe canin, que les coups de reins du bestiau. J’avais la figure pleine de bave et bientôt la chatte pleine de sperme ...
    
    Comme à son habitude, Monsieur avait une cuillère à la main et récupérait le foutre de l’animal dans mon vagin pour me le donner à manger.
    
    Le spectacle avait enflammé les esprits et les braguettes s’ouvrirent pour laisser apparaître des bites bandées, masturbées par des messieurs ou des dames qui n’eurent de cesse que je reçoive une douche poisseuse. Elle me fut servie tiède, à la cuillère, par Monsieur qui ne gâchait rien.
    
    Je dus encore, après les sexes des hommes, nettoyer quelques vagins collants. Les appétits sexuels calmés, j’eus le droit de monter me coucher.
    
    Je croyais en avoir terminé, mais c’était sans compter avec Anicette qui se chargea de me faire prendre une douche en réclamant son dû.
    
    Ses lèvres violacées, c’était vraiment un repoussoir ! Mais ma condition acceptée de chienne ne me gênait plus et je la fis jouir comme jamais, sous mes coups ...
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