Laurent & Sophie à la plage (5) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (5)

... informe une chienne de l’endroit où l’on va ?

Je me confortais dans ma position canine d’animal de compagnie.

Madame était allée jusqu’à me faire regarder la chaîne sur les chiens pour parfaire mon éducation...

Elle parla même du plaisir qu’elle aurait quand j’aurais une portée de chiots ! J’avais beau faire preuve d’imagination, je ne voyais pas comment un jour cela pourrait être possible. Mais à force de l’écouter, j’étais émue et aurais aimé moi-même avoir une portée de plusieurs petits chiens.

J’en étais là de mes pensées quand nous arrivâmes au bout d’un long moment dans la campagne.

J’avais passé le temps du voyage à me faire triturer la chatte par la toiletteuse, de manière brutale. Quelques jours plus tôt, elle m’avait livrée aux mains d’hommes en manque de sensation animale.

Tout le monde descendit de voiture et je dus marcher sur les mains et sur les pieds, sans mettre les genoux au sol, situation qu’adorait Monsieur, car elle mettait mes fesses haut perchées et permettait une vue très précise sur mon anus et ma chatte écartée. Mes tétines pendaient sous mon torse et me faisaient réagir à chaque pas, tellement elles avaient été sensibilisées par la crème dont elles étaient recouvertes.

Nous nous trouvions dans la cour d’une ferme et même les yeux fermés, j’aurais reconnu les lieux à cause de l’odeur forte. Il s’agissait d’un élevage d’animaux.

Un homme vint à notre rencontre, l’archétype du paysan en bleu de travail avec un béret sur la ...

... tête, mal rasé avec des mains énormes qui ne devaient jamais avoir bénéficié de soins. Elles étaient comme des battoirs, pleins d’entailles, les ongles noirs et cassés.

— Alors c’est la petite chienne que l’on veut traire ? Vous allez rigoler : quand on me l’a dit, je croyais qu’il s’agissait réellement d’une chienne. Mais je vois que c’est beaucoup plus intéressant ! Elle a des tétons vraiment très développés.

La toiletteuse lui dit qu’elle avait fait ce qu’il fallait pour qu’ils soient dans cet état-là.

Elle semblait bien connaître le paysan et prit l’initiative, en se saisissant de ma laisse, de m’entraîner à sa suite vers ce qui semblait une étable. Mais là où je m’attendais à voir des vaches, c’était en fait un troupeau de chèvres qui patientait pour se faire traire. J’aurais dû effectivement reconnaître l’odeur forte de leurs poils mouillés.

J’aboyai deux fois, ne voulant pas me retrouver entre ces bestiaux. Mais c’était peine perdue : le paysan me fit passer la barrière et détacha ma laisse au milieu d’elles. Il regagna ensuite les autres qui étaient restés de l’autre côté. Les chèvres s’intéressèrent à moi en me reniflant ; je me sentais assez en confiance : elles n’avaient pas d’agressivité envers moi. Mais j’avais sous-estimé le paysan qui fit rentrer un bouc dans l’enclos.

Celui-ci ne perdit pas de temps et se dirigea directement vers moi. Je me réfugiai le plus rapidement possible vers la barrière où étaient positionnés Monsieur, Madame, la toiletteuse ...