Laurent & Sophie à la plage (5) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (5)

Anicette avait cherché à m’isoler de Madame et elle y arriva en fin d’après-midi en prétextant la nécessité de me faire sortir parce que j’avais fait des gouttes sur le carrelage, ce qui était complètement faux.

Elle m’entraîna vers l’étang, me fit mettre sur le dos, descendit son cul vers ma figure, releva son tablier. J’avais une vue effarante sur ses longues lèvres violettes qu’elle écartait très largement. Elle voulait que je la suce et je m’exécutai.

Mais un jet nauséabond me frappa le visage et elle força ma bouche pour que je la garde ouverte. Elle avait décidé de me pisser dedans et de me faire avaler toute sa pisse !

J’étais trempée et pleine de son jus. Non seulement je lui servais de toilettes, mais en plus, elle avait joui dans ma bouche et fait lécher jusqu’à la dernière goutte le fruit de sa jouissance.

Quand nous passâmes à proximité du jet, elle me nettoya.

J’arrivai à la maison ; madame me prit la tête dans ses bras pour savoir si j’avais bien fait mes besoins. Un « wouaf » de confirmation la renseigna en retour.

Monsieur nous annonça la venue de la toiletteuse canine pour le lendemain matin. Je craignais que l’on me mette encore à contribution, alors que je n’avais plus un poil à ôter.

Dès 9 heures, elle se présentait à la maison et c’est à quatre pattes, sur la table basse du salon, que je passais l’inspection sous son œil averti. Aucun espace de ma peau ni de mes ouvertures naturelles de mon corps — oreilles, narines, bouche, anus et ...

... bien sûr vagin — ne fut oublié. Elle maniait sa pince à épiler avec beaucoup de précision. Quelques poils étaient apparus autour de mon orifice anal : Anicette écarta les deux globes de mes fesses pour que la toiletteuse puisse officier au mieux.

Elle s’intéressa ensuite à mes tétines qu’elle enduisit d’une crème qu’elle prit dans un petit pot. Ce devait être une préparation à elle ! À peine enduites, elles enflèrent et je ressentis des fourmillements et des picotements. C’était incroyable de voir mes tétons : ils ressemblaient à des pis de chèvres ! D’ailleurs Monsieur faisait des gestes comme pour me traire.

— Elle sera parfaite, votre petite chienne Clitorine, dit la toiletteuse.

Madame introduisit le plug à la queue soyeuse dans mon trou du cul, plaça mes oreilles sur ma tête, ainsi que mes quatre petites chaussures en forme de patte de chien. La laisse fut attachée à mon collier et nous nous dirigeâmes vers la limousine de Monsieur.

Je passais à l’arrière, à la place du centre, entre Madame et la toiletteuse, le dos sur l’assise du siège et les pattes sur les repose-tête des sièges avant. Ainsi ma position permettait à chacune de mes voisines de s’occuper les mains sur mon corps et permettait à Monsieur, d’un coup d’œil dans le rétroviseur, d’avoir une vue sur ma chatte écarquillée.

Je ne savais pas où l’on allait : le secret avait été bien gardé, ou tout simplement je n’avais pas été présente lors des discussions concernant cette sortie. Mais est-ce qu’on ...