1. Laurent & Sophie à la plage (5)


    Datte: 30/07/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... j’eus la permission de m’allonger sur le siège arrière de la voiture où je m’endormis sans tarder. Monsieur nous emmenait vers la maison où une nouvelle surprise m’attendait.
    
    En effet, le couple propriétaire de Médor était là, mais Laurent aussi ! J’imaginais que la soirée dont j’avais entendu parler, c’était pour maintenant, et je redoutais la réaction de mon petit ami et la mienne.
    
    Anicette ne me laissa pas réfléchir et m’entraîna tout de suite à l’étage pour ma douche. Je résistai en tirant sur la laisse, mais rien n’y fit. À son empressement, je compris qu’elle allait encore m’obliger à la sucer. Elle devait être excitée à l’idée que Médor allait me baiser.
    
    Je me trompais à peine.
    
    Elle ne voulait pas un broute minou, mais juste me masturber sous la douche avec le manche de la brosse à cheveux. Je dus également subir un lavement rapide. Je pensai donc que ce soir, mon anus allait être utilisé.
    
    Mais par qui ?
    
    Malgré les bruits de l’eau, j’entendais des bribes de conversations monter jusqu’à l’étage. Laurent parlait avec Monsieur. La sonnette qui retentit annonça l’arrivée d’autres personnes, je commençais à redouter de descendre.
    
    Anicette qui me peignait pour mettre mes cheveux en arrière, me fit prendre de la vitamine C. Je me sentis rapidement mieux, moins anxieuse. Mes oreilles ajustées, elle me mena en laisse pour rejoindre le rez-de-chaussée.
    
    Il avait les deux hommes de la plage — Rachid, Jimmy — ainsi que deux couples que je ne connaissais ...
    ... pas. J’étais le centre des attentions et j’adorais ça. Tous n’avaient d’yeux que pour ma descente, ma docilité, mon corps, ma façon de bouger, sûrement pour mes tétons sur-développés, enfin pour MOI.
    
    Je trouvais à Laurent, que je regardais à la dérobée, un air hautain et méprisant. Je m’en moquais intérieurement. Je faisais ce dont j’avais envie et ce soir, je voulais être encore plus dans ma peau de chienne que d’habitude !
    
    Mes mimiques, mes mouvements, toute mon attitude rappelaient celles d’un chien, enfin d’une chienne. Je poussais même jusqu’à spontanément renifler et lécher, à la surprise générale, l’arrière-train de Médor. Le propriétaire du cabot me flatta l’encolure pour me motiver à continuer.
    
    — Elle est contente ! La Clitorine, de retrouver son fiancé.
    
    En guise d’approbation, j’aboyai une fois et j’attrapai le sexe de Médor avec ma bouche en glissant ma tête entre son arrière-train. La bestiole se laissa faire et je le pompais en aspirant très fort, trop peut-être, car sa maîtresse tira sur ma laisse.
    
    — Non, non Clitorine ! Ce n’est pas comme ça que tu le rendras heureux, notre Médor. Il va t’embrocher et te remplir le ventre avant de t’engrosser.
    
    Je fus retournée par plusieurs paires de mains (je reconnaissais celles de Laurent qui s’était mis à l’œuvre) et Médor se retrouva dans mes reins. Mon vagin fut très vite visité par les doigts de la propriétaire qui aidait le cabot à me pénétrer.
    
    Un coup dans la chatte, un coup dans le cul !
    
    À ce ...
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