Laurent & Sophie à la plage (5)
Datte: 30/07/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... devait être très excitant, de voir une jeune femme se faire traire au milieu des chèvres.
Je trouvais les mouvements très irritants. Ça me dérangeait : un coup à gauche, un coup à droite.
L’aspiration était vraiment très forte. La surprise intervint après quelques minutes : je vis effectivement dans le bocal censé récupérer le lait, une matière blanchâtre qui venait de ma poitrine.
— C’est du petit-lait, dit la toiletteuse, ça arrive à toutes les femmes dès qu’on stimule les glandes mammaires.
Le paysan passé derrière moi, avec la permission de Monsieur, était en train de me pénétrer. Les mouvements qu’il générait augmentaient mon déséquilibre et je terminais affalée sur l’appareil à traire quand il lâcha son sperme dans mon vagin.
Tout le monde était très excité et avant de me relever, je dus sucer Monsieur. Son sperme chaud était bien meilleur que celui du bouc et je l’avalais avec plaisir. Madame me caressait toujours la tête et décida qu’il était temps de me donner une bonne douche. Je pensais enfin être tranquille, mais c’était sans compter sur la perversité du paysan qui n’avait jamais pu profiter d’une telle jeune femme disposée à lui laisser faire toutes les lubricités sur son corps.
Il nous emmena dans sa pièce principale où il avait fait préparer un déjeuner.
Mais pour ce qui était de prendre une douche, il n’y avait qu’une grande bassine pleine d’eau sur la vaste table. Chacun s’installa autour pour boire et manger. Ma place était à quatre ...
... pattes dans la bassine d’eau et le paysan décida que je devrais y rester tout le temps qu’ils mangeraient et qu’il me laverait après.
Bien évidemment, durant le repas, j’eus droit à plusieurs pénétrations avec tout ce qui était long et rond. Je pris saucisson, banane et goulot de bouteille dans le vagin.
J’étais fatiguée et les quelques victuailles que Madame glissa dans ma bouche me firent le plus grand bien.
Au moment du café, le paysan, comme il l’avait annoncé, me frotta avec un gant et du savon. Il y mit tout son cœur et vu la bosse dans son pantalon, son excitation n’était pas retombée.
J’étais lavée sous tous les angles, couverte de savon et chacun y allait de son observation et du petit détail que le paysan devait reprendre pour que je sois nickel.
Il décida de me rincer au jet d’eau, dehors.
Tous se retrouvèrent à l’extérieur avec moi, nue au milieu de la cour, entourée de poules, coqs et poulets, la laisse attachée à un poteau. Le jet d’eau puissant en marche, je fus rincée devant le groupe, un chien venu de nulle part jappait autour de moi.
Bien évidemment, je dus pratiquer des écartements de mes fesses et de mes cuisses pour être sûre qu’il n’y avait plus de savon ni de sperme dans mon corps. Ma bouche ne fut pas oubliée.
Une rasade d’alcool faite maison était censée me purifier du sperme de bouc.
Le paysan aurait aimé que son chien puisse se vider les couilles, mais devant mon état de fatigue, je fus dispensée de cet exercice.
Au retour, ...