Laurent & Sophie à la plage (5) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (5)

... et le paysan.

Madame passa ses mains pour me caresser la tête.

Le bouc était derrière moi.

Il avait introduit son mufle entre mes cuisses. Sûrement mes odeurs intimes l’avaient guidé là, et je sentais sa langue râpeuse me décaper le vagin et l’anus. Je n’osais imaginer qu’il essayerait de copuler avec moi. Le paysan rentra à nouveau dans l’enclos et tritura le sexe de l’animal.

— Allez la chienne ! Il fait partie du même règne animal que toi ! Si tu ne veux pas qu’il te défonce la chatte, suce-le et éponge-le tout de suite.

Devant la menace de me faire pénétrer par l’animal, je m’agenouillais pour passer sous son poitrail et saisis son sexe. Je commençai à le masturber et lui massais les couilles pour activer son éjaculation. Heureusement qu’il n’avait pas l’habitude de cette pratique !

Je serrai son membre très fort pour l’amener à faire sortir son sperme rapidement. Je redoutais de mettre ma bouche autour de ce sexe rouge et gluant.

Monsieur prenait des photos et m’encouragea à boire ce « merveilleux don de la nature ». Quand je sentis le bouc prêt à venir, je mis ma bouche autour de son sexe.

L’animal n’en finissait pas de se déverser dans ma gorge. Je prenais des coups de bite au fond de ma bouche et je faillis m’étrangler devant à la quantité importante de sperme. Je déglutis au fur à mesure, en évitant de respirer l’odeur nauséabonde du bestiau.

Sitôt l’éjaculation passée, il se recula et alla retrouver les femelles de son espèce, me ...

... laissant pantelante près de la barrière. La toiletteuse reprit les choses en mains et récupéra les gouttes de sperme échappées de ma bouche pour me les faire gober.

— Allez ! Maintenant c’est l’heure de la traite.

Je me traînais tant bien que mal derrière elle, Monsieur et le paysan, tous très excités par ce qu’ils venaient de voir. Ils profitèrent de mes fesses en l’air pour me tripoter la chatte. Je mouillais et je sentais bien que les mains rudes du paysan s’introduisaient dans mon vagin.

Monsieur lui expliqua que j’étais une chaudasse, toujours prête à me faire défoncer la chatte.

Notre hôte nous fit rentrer dans la salle de traite.

Il s’agissait de petites cellules séparées par des barrières en fer dans lesquelles on mettait les chèvres, fesses vers l’arrière. Le paysan se tenait dans une petite ruelle en contrebas et était de cette manière à la bonne hauteur pour la traite.

Monsieur, Madame et la toiletteuse se tenaient à ses côtés. En ce qui me concernait, j’étais face à eux, tête-bêche avec les chèvres.

Le paysan nettoya mes tétines avec un chiffon humide, les enduisit d’un mélange gras et fixa sur mes seins les deux branches d’une trayeuse qui enserrèrent mes tétons d’un seul coup, grâce à l’aspiration qui venait des tuyaux. Le mouvement passait de mon sein gauche à mon sein droit et tirait mes tétines déjà très en extension. Monsieur continuait à prendre des photos, mais de son autre main, il se caressait la bite à travers son pantalon. Le spectacle ...