Tante Jeanne - Soirée Familiale
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
oncletante,
grosseins,
poilu(e)s,
pénétratio,
Auteur: Fulvia, Source: Revebebe
... Une fois leurs plats déposés sur la nappe, les deux femmes s’installèrent face à leurs couverts, Maggy s’installant naturellement en bout de table, comme l’avait espéré Robert.
Le repas commença dans la bonne humeur, chacun pensant à calmer la faim qui commençait à se faire sentir. Robert s’était empressé de remplir les verres et surveillait que ceux-ci, surtout celui de Jeanne soient toujours pleins. Pour les deux amants se faisant face, les échanges de regards, d’abord timides, se firent de plus en plus insistants, complices. Robert tachait de mettre dans le sien tout le désir qu’il éprouvait pour sa tante, alors que dans celui de Jeanne on pouvait y lire, certes un certain désir, mais surtout énormément de passion pour ce neveu qui avait si bien su la combler sexuellement.
Comme elle répondait à Maggy sur la meilleure façon de préparer une omelette, Jeanne sentit, avec un certain émoi, un des pieds de son vis-à-vis frôler son mollet, puis s’y attarder dans une caresse persistante. Sans cesser sa discussion culinaire avec l’épouse de son amant, elle jeta un rapide coups d’œil à ce dernier afin de lui faire comprendre qu’elle était extrêmement ravie de son audace. Message que Robert dut certainement comprendre, car aussitôt elle sentit le pied indiscret de ce dernier remonter le long de son mollet, atteindre son genou, et tenter de s’infiltrer entre ses cuisses resserrées. Un long frémissement de désir lui parcourut le bassin.
Ressentir la douceur des chairs ...
... intimes de sa tante sous ses orteils, à l’insu de son épouse placée à quelques centimètres de lui, procura à Robert un plaisir d’une intensité jamais connue. Allongeant un peu plus la jambe, il força les cuisses à s’écarter. Ce qu’elles firent de bonne grâce. S’étant ouvert le passage, Robert atteignit du bout du pied, le rempart de nylon qui protégeait ce sexe qu’il avait découvert vingt-quatre heures plus tôt et qui depuis cet instant le poursuivait dans ses songes. Sans cesse, depuis la veille, lui revenait à l’esprit l’affolante vision de sa tante impudiquement écartelée sur la table de cuisine, un énorme poireau planté dans la chatte. Légume qu’il avait lui-même enfoncé avec un plaisir pervers lorsque, ayant exploré de ses doigts le sexe de sa parente, il avait découvert, surpris, les dimensions extraordinaires du vagin qu’il fouillait. Durant près de deux heures, il avait vécu avec sa tante des instants d’une lubricité démesurée. Il avait obligé sa parente à accepter ses désirs les plus fous, ses perversions sexuelles les plus impudiques. Et sa tante qu’il avait connue si prude, si sérieuse, s’était prêtée de bonne grâce à toutes les décisions perverses qu’il lui forçait à accomplir, les anticipant même.
Victime de nouveau d’une érection monumentale, Robert entreprit de frotter ses orteils à l’entrejambe du vêtement intime qui protégeait ce sexe tant désiré, tâchant tant bien que mal d’agacer le clitoris de sa sensuelle parente, qu’il savait extrêmement sensible.
Sous ...