Tante Jeanne - Soirée Familiale - Histoires de Sexe

Tante Jeanne - Soirée Familiale

... de reprendre leurs esprits. La première, Jeanne retrouva sa lucidité. Se penchant sur son neveu et amant, elle l’embrassa tendrement :

— Tu étais bien ? demanda-t-elle, curieuse de savoir s’il avait connu le même plaisir qu’elle.
— Oui, souffla Robert, pas encore remis de sa jouissance… J’avais tellement envie…
— J’ai senti, précisa Jeanne… Tu en avais encore une sacrée réserve… Qu’est-ce que tu m’as lâché… Je dois en avoir plein le ventre…

Puis après un moment de silence, elle avoua :

— Tu sais, je n’avais jamais connu ça !… J’ai eu l’impression que je m’envolais… Je comprends maintenant l’expression «Monter au septième ciel ». Je crois bien que tu me l’as fait atteindre… À cinquante-trois ans ! Tu te rends compte ?
— Mieux vaut tard que jamais, plaisanta Robert.

Sentant le membre fiché en elle perdre de son volume, Jeanne murmura tristement :

— Je crois bien que bien que c’est terminé pour ce soir… Dommage…

Saisissant sa culotte posée sur le canapé, elle s’empressa de la plaquer contre son sexe dégoulinant avant de se redresser et libérer la verge quelque peu ramollie. S’essuyant méticuleusement la chatte, elle lança incrédule :

— C’est pas possible, comment fais-tu pour avoir autant de jus ? Je pense que je vais aller faire un brin de toilette avant d’aller me coucher… Mais avant laisse-moi te nettoyer…

Se penchant sur le bas-ventre de son neveu encore quelque peu vaseux, elle entreprit alors de lécher ...

... consciencieusement le membre viril qui venait de la faire jouir. D’une langue gourmande, elle s’appliqua à effacer toutes les traces laissées par leurs plaisirs communs. Puis dans un dernier geste d’amour envers son merveilleux neveu, elle goba le gland qui avait retrouvé une taille réduite pour le sucer une dernière fois :

— Hum ! C’est salé, murmura-t-elle en se redressant les lèvres luisantes.

Momentanément apaisés la tante et le neveu, tendrement enlacés gravirent l’escalier menant à leur chambre respective. Avant de pénétrer dans la salle d’eau afin d’y faire un brin de toilette, comme elle l’avait annoncé, Jeanne se tourna vers son neveu pour l’embrasser. Robert dans un dernier accès de désir l’attira à lui, et la maintenant par la taille, posa ses lèvres sur les siennes dans un baiser plein de fougue et de passion. Les langues, dans un ballet effréné, virevoltèrent, se cherchant, pour enfin s’accrocher dans un bain de salive parfumée.

Sentant les mains de son neveu glisser de sa taille jusqu’à ses fesses, Jeanne ne put s’empêcher de protester :

— Non, sois sage… Tu vas me redonner envie et je sais que je ne pourrai pas te refuser… Vas te coucher auprès de ta femme, ça vaut mieux…

Comme Robert, se reculait, la mine quelque peu dépitée, elle s’empressa d’ajouter :

— Nous aurons bien l’occasion de recommencer demain.

<< A suivre >>

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Merci.

Fulvia