1. Tante Jeanne - Soirée Familiale


    Datte: 28/07/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, oncletante, grosseins, poilu(e)s, pénétratio, Auteur: Fulvia, Source: Revebebe

    Tante Jeanne 03
    
    Soirée Familiale
    
    Suivi de Maggy, son épouse, qui avait tenu à l’accompagner, malgré le handicap de son ventre alourdi par huit mois de grossesse, Robert pénétra dans le hall de la clinique où son oncle avait été hospitalisé. Ils durent emprunter l’ascenseur - la grossesse avancée de Maggy lui interdisant l’escalier - qui les amena rapidement au niveau souhaité.
    
    Arrivés à l’étage désiré, ils avancèrent dans le long couloir à l’odeur si particulière des hôpitaux, où infirmières et médecins s’affairaient dans un silence presque religieux. Slalomant entre les chariots de soins, ils arrivèrent devant la porte numéro 216 qu’ils poussèrent après avoir frappé doucement.
    
    La chambre à un lit était petite, mais extrêmement lumineuse du fait de son exposition plein Sud. Face au lit dans lequel Pierre était confortablement installé, un poste de télévision accroché au mur montrait les images des informations de treize heures. Le malade semblait bien remis de son accident. Jeanne son épouse se tenait assise près de lui.
    
    Voyant apparaître la haute silhouette de son neveu (et amant depuis la veille), Jeanne éprouva un tel bonheur qu’elle sentit les battements de son cœur s’accélérer, tandis qu’une soudaine boule lui obstruait la gorge. En un éclair, les images de son après-midi de la veille, où elle était devenue la maîtresse de son propre neveu, défilèrent dans sa tête. Le souvenir de tout ce que lui avait fait subir Robert, et qu’elle avait accepté avec ...
    ... ravissement, la perturba étrangement. Tout son corps se couvrit d’une sueur érotique, sans qu’elle ne puisse y remédier.
    
    Découvrant sa tante assise au chevet de son mari, qui lui souriait avec tant de chaleur et d’affection, Robert en conçut à son tour un immense plaisir mêlé d’un grand soulagement. Lorsqu’il l’avait quittée la veille, et malgré la proposition qu’elle lui avait faite de revenir quand il le voudrait, il avait craint qu’ayant réfléchi, sa tante lui reproche son comportement. Le sourire qu’il découvrait sur les lèvres de Jeanne le réconfortait et lui ouvrait des horizons voluptueux.
    
    — Ha ! C’est vous, mes chéris, s’exclama Jeanne en se levant de sa chaise…Maggy, il ne fallait pas venir. Robert ! Pourquoi l’as-tu amenée… dans son état… Ce n’est pas prudent.
    — Ne vous en faites pas Tatan, ça va très bien, la rassura Maggy… Juste un peu essoufflée… Avec mon ventre, je ne peux plus me déplacer… Vivement que ce soit terminé… Que je retrouve ma taille de jeune fille.
    — N’empêche que ce n’est pas prudent…
    
    Tandis que les deux femmes épiloguaient sur les inconvénients d’une grossesse, Robert se pencha sur son oncle pour l’embrasser, s’enquérir de sa santé et des soins qui lui avait été prodigués. Puis, se redressant, il s’effaça pour laisser la place à son épouse. Se tournant alors vers sa tante pour l’embrasser à son tour, il dut s’avancer vers le pied du lit, Jeanne s’étant éloignée pour laisser passer Maggy et son ventre proéminent.
    
    A cinquante-trois ans, ...
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