1. Tante Jeanne - Soirée Familiale


    Datte: 28/07/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, oncletante, grosseins, poilu(e)s, pénétratio, Auteur: Fulvia, Source: Revebebe

    ... ces frôlements terriblement voluptueux et agaçants en même temps pour ses sens en effervescence, Jeanne sentit de longs frissons voluptueux lui parcourir tout le corps. Depuis le bas-ventre et le creux des reins des vagues successives la submergèrent, sans qu’elle puisse les contrôler. Au niveau de sa poitrine, ses mamelons se gonflèrent tandis que ses tétons, tels deux petites bites se raidissaient, s’irritant au contact du nylon de son soutien-gorge. Au plus intime de sa vulve ses « glandes de Bartholin » libéraient des flots de cyprine qui ne firent qu’aggraver encore l’état de sa fine culotte. Sous cet insidieux plaisir que lui procuraient les attouchements désordonnés des orteils de son pervers neveu, le désir se fit de plus en plus impérieux dans son bas-ventre. Aussi, se laissant emporter par ses sens en ébullition, Jeanne écarta le plus possible ses jambes afin de faciliter l’indiscrète exploration. Poussant subtilement sa croupe sur sa chaise, elle avança son entrejambe complètement liquéfié au-devant du pied qui tentait maladroitement de la branler. La gorge sèche et nouée par le désir, elle avala précipitamment le contenu de son verre, sans se soucier de ce que le vin ne pouvait qu’accroître encore la fièvre qui la travaillait.
    
    — Vous ne reprenez plus de jambon ? interrogea soudain Maggy, tirant les deux amants de leurs songes érotiques.
    — Non merci, bégaya Jeanne, dont les entrailles torturées par le désir se liquéfiaient littéralement.
    — Toi non plus, mon ...
    ... chéri ?
    — Non, merci… Je me réserve pour la suite, répliqua Robert en jetant un regard complice à sa tante dont les joues avaient particulièrement rosi sous l’effet conjugué du vin et de l’excitation.
    — Bon, eh bien je vais faire l’omelette, décida Maggy.
    — Attends, je vais t’aider proposa Jeanne en repoussant discrètement le pied nu de Robert d’entre ses cuisses.
    
    Alors que les deux femmes quittaient la table pour se rendre de concert à la cuisine, Robert alléché suivit du regard les deux croupes qui s’éloignaient en ondulant. Si les fesses de son épouse paraissaient plus rondes, plus fermes du fait de leur jeunesse, celles de sa tante par contre, bien que plus larges et plus opulentes, dégageaient une sensualité certaine. Se levant à son tour de table, il alla rejoindre ses deux compagnes à la cuisine.
    
    Maggy et Jeanne discutaient autour de la poêle où cuisaient doucement les œufs.
    
    — Hum, c’est appétissant ce que vous faites, complimenta Robert en encerclant de ses bras les tailles des deux femmes.
    — Prépare donc le plateau de fromages, l’interpella Maggy.
    
    Laissant glisser sa main le long de la hanche de sa tante, en une caresse furtive, Robert alla s’acquitter de sa mission, sans pour autant cesser de contempler les postérieurs aguichants de ses deux compagnes.
    
    — Tatan, je vais vous laisser surveiller l’omelette, s’exclama soudain Maggy. J’ai encore envie de faire pipi !
    — Va, ma chérie, je m’occupe de tout.
    
    A peine son épouse eut-elle entamé l’escalade ...
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