Tante Jeanne - Soirée Familiale
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
oncletante,
grosseins,
poilu(e)s,
pénétratio,
Auteur: Fulvia, Source: Revebebe
... voir pour sourire franchement à son jeune amant, heureuse de profiter de ces derniers instants avec celui qui l’avait révélée sexuellement vingt-quatre heures plus tôt.
La première qui rompit le silence fut Maggy :
— Je pense à une chose Tatan, pourquoi ne viendriez-vous pas passer la nuit à la maison… Ce n’est pas bon de rester seule chez vous à ruminer…
Robert, s’il fut surprit par la proposition de son épouse n’en pensa pas moins que l’idée était extraordinaire, aussi s’empressa-t-il de renchérir :
— C’est vrai ça… Tu seras mieux à passer la soirée avec nous, que de te retrouver toute seule chez toi…
A cette suggestion, Jeanne sentit son cœur s’affoler : pouvoir passer la soirée près de son cher neveu la comblait de bonheur, même si elle savait pertinemment que rien ne pourrait se passer entre eux deux, du fait de la présence de Maggy. Mais elle pourrait au moins être près de lui, lui sourire, le frôler et peut être sentir ses mains effleurer son corps… Cela suffisait à son bonheur.
— Je ne voudrais pas vous déranger, tenta-t-elle de protester d’une voix peu convaincante.
— Mais vous nous dérangez pas du tout, lui répondit Maggy… Vous savez bien que nous avons une chambre d’amis toujours prête, en plus de celle réservée au bébé…
— Mais je n’ai rien pour la nuit, rétorqua Jeanne…
— Ce n’est pas grave, je vous passerai un pyjama ou une chemise de nuit… Allez, c’est décidé… Robert vous ramènera chez vous demain matin !…
— Nous pourrons même passer à ...
... l’hôpital chercher Tonton, appuya Robert ravi de l’aubaine.
Contrairement à Jeanne, Robert pensait bien profiter de l’occasion pour, à l’insu de son épouse, amorcer quelques jeux érotiques avec sa sensuelle tante. Tout à son contentement, il jeta un rapide coup d’œil dans le rétroviseur en direction de son amante. Ce que le miroir lui renvoya le conforta dans l’espérance d’une soirée des plus agréable. Jeanne, l’air extrêmement ravi lui souriait largement. Dans un mouvement des lèvres plein de tendresse, elle lui envoya même un baiser.
Au bout d’une bonne heure de route, la « 307 » stoppa enfin devant la demeure de Robert et Maggy : une villa à un étage jumelée de chaque côté à d’autres maisons toutes identiques, dans un lotissement, comme il y en a de plus en plus dans les périphéries des grandes villes. Les deux femmes pénétrèrent dans la maison alors que Robert allait garer la voiture au garage.
La voiture rentrée, la porte du garage refermée, Robert pénétra à son tour à l’intérieur de son logement. À son habitude, il retira ses chaussures. Les pieds nus dans de vieilles savates, il se dirigea alors en direction du bruit de conversation venant de l’étage où Maggy et Jeanne devaient faire la chambre que sa tante allait occuper pour la nuit. Désirant les rejoindre, il se lança à l’assaut de l’escalier en bois aux marches craquantes. Arrivé à la chambre d’amis, il s’immobilisa dans le chambranle de la porte, appréciant le charmant spectacle qui s’offrait à lui. Les deux ...