Tante Jeanne - Soirée Familiale
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
oncletante,
grosseins,
poilu(e)s,
pénétratio,
Auteur: Fulvia, Source: Revebebe
... protubérance qui commençait à déformer sa braguette.
Aussi discret que fut le mouvement qu’effectua Robert pour camoufler son érection, il ne passa pourtant pas inaperçu aux yeux de Jeanne, qui couvait des yeux son neveu adoré. Or depuis un instant elle n’avait pas été sans déceler un gonflement inopportun au bas du ventre de ce dernier. Sachant pertinemment qu’elle était la cause de cet inconvenant raidissement sexuel, elle en éprouva un indéfinissable bonheur. Les images de la virilité de son jeune amant, qu’elle avait découverte vingt-quatre heures plus tôt, lui revinrent en mémoire… Avec émoi, elle se souvint combien elle avait été surprise lorsqu’elle avait découvert le membre d’une longueur peu commune de son neveu… N’ayant jamais connu d’autre sexe masculin que celui de son époux qui possédait une verge plutôt courte, la longueur de celle de Robert l’avait médusée et quelque peu angoissée. Sa première réaction avait été de se demander si un pieu de cette longueur pouvait s’enfoncer entièrement dans un sexe féminin. La suite des évènements lui avait prouvé que oui. Non seulement l’immense membre s’était introduit complètement dans son ventre, sans qu’elle n’en ressente aucune gêne, mais il lui avait fait connaître une jouissance extraordinaire. Plusieurs orgasmes l’avaient secouée durant tout le temps que Robert l’avait fouillé à l’aide de son fabuleux pal…
Pour les deux amants, l’après-midi se passa dans un sentiment de frustration ; chacun des deux imaginait ...
... maints subterfuges leur permettant de réitérer ces instants d’intense sensualité qui les avaient réunis vingt-quatre heures plus tôt. Seuls leurs regards les réunissaient par instants, dans lesquels chacun pouvait lire le désir que l’autre éprouvait. Les heures défilant, bien trop vite au gré des deux complices, vint le moment où il fallut quitter le malade. Sachant que sa tante ne conduisait pas, Robert s’empressa de se proposer :
— Comment es-tu venue ? demanda-t-il, connaissant par avance la réponse.
— En car !
— Si tu veux, on te ramène…
— C’est vrai ? Cela ne vous gêne pas ? questionna Jeanne, ravie au fond d’elle-même de demeurer quelques instants supplémentaires avec son jeune amant, la présence de Maggy ne la gênant pas particulièrement.
La réponse vint de cette dernière :
— Pensez voir !… C’est avec plaisir que nous vous déposerons Tatan.
— Dans ce cas-là, j’accepte…
Après un dernier baiser au malade qui les regarda s’éloigner avec tristesse, le trio quitta la chambre, chacun donnant son avis sur l’état du malade.
Ils atteignirent rapidement le parking où était garée la « 307 » de Robert dans laquelle ils prirent place. Pendant les premiers cent mètres, le silence régna dans l’habitacle de la voiture, chacun étant plongé dans ses pensées. De temps à autre, Robert jetait un coup d’œil au rétroviseur intérieur afin de communiquer avec sa tante par miroir interposé.
Complice, Jeanne profitait que Maggy, installée à la « place du mort », ne pouvait la ...