Tante Jeanne - Soirée Familiale
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
oncletante,
grosseins,
poilu(e)s,
pénétratio,
Auteur: Fulvia, Source: Revebebe
... découvert, impressionnée, les dimensions étonnantes de la virilité de son neveu, elle demeura un long moment à contempler ce pieu de chair hallucinant.
— Tu peux la toucher, tu sais. Elle ne va pas te mordre, l’encouragea Robert impatient.
— Je sais qu’elle ne va pas me mordre, répliqua Jeanne en refermant ses doigts autour du membre viril tendu. Mais je sais aussi qu’elle peut cracher, j’en ai quelques souvenirs…
Activant sa main le long de la colonne de chair, elle entreprit alors de la branler doucement, délicatement, avec une sorte de tendresse maternelle :
— Comme elle est belle, chuchota-t-elle, en fixant le gland violacé qui apparaissait hors de sa main refermée chaque fois qu’elle le décalottait… Je n’en reviens toujours pas que tu possèdes un sexe d’une telle taille… Pourtant quand tu étais enfant, et que je te faisais ta toilette tu m’as toujours semblé normalement constitué… Il est donc possible que cette partie de l’anatomie d’un homme puisse changer à ce point.
Mais devant ce membre dressé et qui semblait la narguer, Jeanne ne put résister davantage. Avide de goûter de nouveau à ce bourgeon de chair velouté, elle s’empressa d’aspirer l’extrémité cramoisie de la verge frémissante. Goulûment, elle aspira le gland congestionné au fond de sa gorge, tâchant d’absorber entièrement l’impressionnante queue rigide dans sa bouche. Avec gloutonnerie, elle entreprit de sucer l’énorme pal de chair dont l’extrémité venait lui frapper la glotte, la forçant à ...
... déglutir fréquemment. Tout en faisant coulisser ses lèvres le long de la longue hampe de chair, elle referma ses doigts sur les couilles velues et gonflées qu’elle pressa délicatement, pinçant modérément les noyaux durcis.
A sentir le membre frémir dans sa bouche, Jeanne ne tarda pas à percevoir dans son corps d’incontrôlables frémissements de toute sa chair. Ses mamelons se gercèrent tandis que ses tétons se raidissaient comme si une bouche amoureuse les avait sucés. Entre ses cuisses, sa fontaine intime, loin de se tarir avait encore augmenté de débit. Que n’aurait-elle donné pour que son jeune amant la prenne là, à même sur le canapé, sans se soucier de la présence de Maggy endormie au premier étage ?
Alors qu’elle s’ingéniait à agacer le gland congestionné en le fouettant à l’aide sa langue, elle sentit son jeune amant la saisir par les cheveux et lui tirer vivement la tête en arrière, l’obligeant à lâcher sa proie.
— Pourquoi, s’inquiéta-t-elle ?… Tu n’aimes pas ?
— Au contraire, c’est trop bon… Je préfère jouir dans ton ventre…
— C’est vrai, s’exclama Jeanne ravie !
— Viens sur moi !
— Mais… Maggy ?
— Ne t’en fais pas, on l’entendra si elle quitte la chambre, le parquet des escaliers grince.
Rassurée, Jeanne s’apprêta à s’installer à califourchon sur les genoux de son neveu, comme ce dernier lui avait demandé, lorsqu’une pensée lui traversa l’esprit.
— Enlève ton pantalon, conseilla-t-elle à son jeune amant…Avec tout ce qui coule de ma chatte je risque ...