1. Tante Jeanne - Soirée Familiale


    Datte: 28/07/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, oncletante, grosseins, poilu(e)s, pénétratio, Auteur: Fulvia, Source: Revebebe

    ... un bâillement… Je suis crevée, je préfère monter me coucher…
    — Je vais peut-être y aller aussi, annonça Jeanne sans beaucoup de conviction.
    — Non, non, restez si vous le désirez, Tantine. D’ailleurs ça m’étonnerait que Robert vienne se coucher tout de suite.
    — C’est vrai, renchérit aussitôt Robert qui ne tenait pas spécialement que sa tante se retire… Attends la fin de l’émission…
    — Bon, moi je vous laisse. Bonsoir à tous les deux, lança Maggy en se dirigeant péniblement en direction de l’escalier de bois qui menait aux chambres.
    
    Alors que son épouse disparaissait dans l’escalier, Robert saisit la main de sa tante et la posa sur l’énorme protubérance qui déformait sa braguette.
    
    Jetant un rapide coup d’œil en direction de l’endroit d’où venait de s’en aller Maggy, afin de se rassurer, Jeanne referma ses doigts sur la formidable bosse que formait la virilité gonflée de son neveu. Avec un émoi évident, elle dut se rendre à l’évidence, Robert était bien victime d’une érection phénoménale. Le cœur battant, elle pressa l’énorme excroissance, revivant les moments où elle avait découvert cette virilité aux dimensions impressionnantes :
    
    — Mon pauvre chéri, murmura-t-elle, attendrie, tu dois être mal… Je peux peut-être faire quelque chose pour toi, maintenant que ta femme est partie se coucher !
    — Je pense bien, répliqua Robert en l’enlaçant… J’ai tellement envie de toi !
    — Moi aussi, j’ai envie de toi, murmura Jeanne dans un souffle… Tu m’as tellement excitée toute la ...
    ... soirée… Je suis trempée…
    — Ça, je m’en suis rendu compte.
    — Tu es un véritable démon, renchérit Jeanne en frottant doucement sur toute sa longueur l’incroyable bourrelet.
    — C’est un reproche ?
    — Oh non !… J’aime trop ce que tu me fais… Même si c’est défendu… Il y a si longtemps que je n’avais connu un tel bonheur… Je crois bien, en fait, que tu m’as révélée, jamais mon corps ne s’était conduit comme ça, même au début de notre mariage, ton oncle et moi…
    
    Robert dont le désir était à son paroxysme jugea que le temps des frôlements, même si ceux-ci étaient agréables, devait cesser. Il avait un besoin pressant d’attouchements plus précis, plus intimes. Vivement, il entreprit de déboutonner son pantalon sous le regard intéressé de sa tante. Découvrant un bout de sa culotte dépassant du slip de son neveu, Jeanne s’exclama, amusée :
    
    — Il me semble bien que ceci m’appartient !… Ce ne serait pas ma culotte par hasard ?
    — Si tu la veux, viens la récupérer, proposa Robert.
    
    Ne se le faisant pas répéter, Jeanne, dont le désir était aussi impérieux que celui de son jeune partenaire, repoussa le slip qui emprisonnait sa lingerie intime, mais qui surtout lui cachait cette virilité extraordinaire. Libérée, tel le génie de la fable, la verge monstrueusement gonflée se redressa orgueilleuse, offrant aux yeux ébahis de Jeanne son gland violacé entièrement décalotté :
    
    — Oh quel morceau ! s’exclama-t-elle, hypnotisée par ce pal de chair démesuré.
    
    Comme la veille lorsqu’elle avait ...
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