L'ambassade ouest-européenne - Histoires de Sexe

L'ambassade ouest-européenne

... ici !

Il s’approche d’elles et les attrape chacune par un bras, les tirant en direction de la porte devant laquelle il montait la garde.

— Ne me touchez pas ! crie Julia, en faisant semblant de se débattre. Je suis la fille de l’ambassadeur ! Lâchez-moi ! Je vais me plaindre à mon père ! Et qui êtes-vous, d’abord ? Et pourquoi portez-vous une cagoule ? Mais lâchez-moi, vous me faites mal !
— Eh ben il va être content, Papa, d’apprendre que sa fille gouine la nuit dans les couloirs de l’ambassade… Et toi ? T’es qui ?
— Ben j’suis sa copine, répond bêtement Alicia.

Il les traîne jusqu’à la porte éclairée qu’il ouvre avec le coude, en criant :

— Regardez ce que j’ai attrapé !

Julia entrevoit trois types cagoulés qui braquent immédiatement vers la porte leurs armes automatiques. En un éclair de seconde, elle balaye ensuite la pièce du regard. Vers le fond de la salle, cinq personnes sont assises, prisonnières, attachées sur leurs chaises ; un couple, assez âgé, en tenue de lit ; un jeune homme habillé pour sortir ; un homme et une jeune femme qui paraissent être des employés au service de l’ambassadeur. Se débattant, Julia se libère de l’étreinte du garde et se précipite vers l’homme âgé en criant d’une voix pleurnichante :

— Oh, Papa, Papa ! Qu’est-ce que j’ai eu peur ! Mais qui sont ces brutes ?

L’homme la regarde sans comprendre d’un air apeuré. (Tous dans la pièce, d’ailleurs, la regardent avec curiosité.) Elle lui adresse un clin d’œil indubitable, ...

... puis se jette sur lui et le prend dans ses bras, quelques secondes, avant de répéter le même cinéma avec la femme à ses côtés.

— Ma petite fille chérie ! geint le vieil homme, jouant à merveille. Qu’est-ce que tu fais toute nue ? Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ?
— On lui a rien fait encore ! répond le garde en poussant violemment Alicia à l’intérieur. Mais c’est pas l’envie qui m’en manque ! Elle est merveilleusement bien roulée, ta fille, monsieur l’ambassadeur…
— Ne lui faites pas de mal ! chevrote le vieillard.
— Mais d’où elles sortent, ces deux connasses ? demande avec colère l’un des hommes cagoulés.
— J’sais pas, je les ai trouvées là, dans le couloir, en train de se gouiner !

Les deux autres hommes rigolent grassement, mais celui qui parlait avec rage semble inquiet :

— Mais vous aviez bien fait le tour de l’étage, non ?

Les autres acquiescent. Il s’approche d’Alicia et lui braque son arme sous le menton :

— Vous étiez où ?
— D… dans… dans sa chambre… bégaye-t-elle en désignant Julia.

L’homme baisse son arme et sort de son sac un émetteur-récepteur miniature ; il appuie sur une touche et le porte à son oreille. Au bout de quelques secondes, il demande :

— Allô ? … Vous avez vu entrer quelqu’un ?

Mary est agenouillée aux pieds des deux gardes et suce tour à tour leurs deux sexes tendus qui dépassent de leurs pantalons. Elle masturbe vigoureusement celui qu’elle ne suce pas, et darde des regards enflammés vers leurs visages satisfaits. Une ...