Agnès, première partie - Histoires de Sexe

Agnès, première partie

... ma présence qu’il me semblait que j’étais transparent. Ton corps était une flamme entre deux branches sombres. Soudain tu as pris conscience de ma présence. Avec un sourire, et en me regardant, comme si tu voulais m’offrir un cadeau précieux, tu les as suppliés de te prendre tout de suite, sur la table.

À la manière hollandaise, la table de la salle à manger était recouverte d’un tapis. Ils t’y ont transportée et ont recommencé leurs caresses tout en se déshabillant. Ils bandaient tous les deux de manière impressionnante. Pierre s’est placé dans le compas de tes jambes qu’il a lentement remontées en t’imposant de les tenir par les genoux. Tu étais ainsi offerte de manière tellement indécente et confiante !

En m’approchant je découvris ton anus avec sa corolle, rosée comme la pointe de tes seins. L’inverse d’un sein et tout aussi émouvant ! Pierre t’a attirée sur le bord de la table et, de son sexe, t’a lentement caressée, du clitoris à l’anus. De temps en temps il faisait une petite incursion dans ton vagin et ramenait du liquide sur ton anus plissé qui s’était mis à battre. J’ai su à cet instant que j’allais voir une sodomie. Ce serait pour moi la première fois. Crois-moi ou non, malgré toutes les filles que j’ai eues, je n’avais jamais pratiqué la sodomie.

Mon cœur s’était mis à battre la chamade. Le tien peut-être aussi car ton visage était transformé. Il était plus attentif, comme appréhendant une douleur ou un plaisir intense ou les deux. Finalement ce n’est ...

... pas Pierre qui t’a pénétrée le premier. Tu étais prête, au bord du plaisir sous leurs caresses conjuguées. Je l’ai entendu dire à Henri :

— Viens l’ouvrir, toi, nous n’avons pas enculé Agnès depuis un mois, ce sera plus agréable pour elle.

En effet le gland de Pierre était impressionnant à voir. Il était d’une telle disproportion qu’il cachait entièrement la fine corolle de ton anus et l’on se demandait s’il entrerait jamais. Et pourtant je n’allais pas tarder à apprendre que Pierre était un artiste de la sodomie. À aucun moment je ne l’ai vu te faire mal. En comparaison le sexe de Henri ressemblait à une longue baguette nerveuse et tordue équipée d’une pointe de flèche. C’est lui qui, en touchant le fond de ton vagin, Agnès, te donnait parfois d’étranges orgasmes mêlés d’un peu de douleur, n’est-il pas vrai ?

Ils ont changé de place, Pierre est venu t’embrasser et te souffler à l’oreille je ne sais quelles sottises tandis que ses mains effleuraient tes seins. Henri avait posé son long sexe au-dessus de ton sexe et caressait l’arrière de tes jambes. Il s’était lentement reculé. Son sexe avait glissé de lui-même sur ton clitoris (au passage tu avais eu un petit sursaut), puis à l’entrée de ton vagin où il s’était attardé, donnant de petits coups mais sans jamais te pénétrer vraiment. D’un coup de rein il s’était retrouvé devant ton anus et brusquement y était entré. Son gland avait disparu. Tu as poussé un petit soupir et tu m’as souri.

À plusieurs reprises il est ...