Agnès, première partie - Histoires de Sexe

Agnès, première partie

... entré et sorti sans jamais aller plus loin que le gland et chaque fois ton corps avait un sursaut. Puis tu as fermé les yeux, comme attentive à tous les gestes d’Henri qui te pénétrait rapidement ou lentement à sa fantaisie, mais toujours du bout de sa queue seulement. Ton bassin ondulait doucement et tu semblais perdue dans je ne sais quel plaisir.

Henri a fait signe à Pierre de venir le remplacer. Et j’ai vu de nouveau l’énorme gland de Pierre recouvrir ta corolle qui paraissait toujours aussi fragile. Son sexe était terriblement rigide. De ses reins il se mit à donner de petits coups comme l’on frappe avant d’entrer dans la chambre d’une jeune fille. Ton anus s’est dilaté brusquement et son gland s’est introduit à l’intérieur. Il y est resté un instant immobile enserré par ta couronne étirée et lisse. Puis très vite il s’est enfoncé dedans toi. Lorsque son corps a rencontré le tien et a écrasé ton clitoris tu as poussé un petit cri, étonnée, et tu t’es mise à vibrer. Tu as ouvert les yeux pour me regarder et me sourire un instant, comme si tu étais fière de m’avoir offert ce spectacle. Puis ton plaisir a repris le dessus. Je l’ai vu monter en toi, il s’inscrivait sur tes traits, dans les mouvements et les tremblements de ton corps, tandis que Pierre restait un long moment immobile puis commençait un va-et-vient de plus en plus ample et rapide. Cela a duré longtemps jusqu’à ce que ton corps ne soit plus qu’une vibration, des muscles tétanisés, un cri. Tu t’es ensuite ...

... affaissée et ce n’est qu’à ce moment que Pierre s’est déversé dans ton rectum en fermant les yeux de jouissance. Il est resté un long moment en toi, sans bouger.

Je n’en pouvais plus d’excitation. Après une dernière photo je me suis précipité dans notre studio et je n’ai jamais su si Henri t’avait enculée à la suite de Pierre. Patricia était allongée sur notre lit en train de lire, nue. Je l’ai retournée sur le ventre et je l’ai forcée à se mettre à quatre pattes. Mon sexe était tendu à l’extrême et déjà lubrifié de liquide. J’ai contemplé un instant cet anus, le premier que j’allais pénétrer. Patricia était détendue, ne s’attendant visiblement pas à ce qui allait lui arriver, habituée qu’elle était à mes assauts dans toutes les positions et en toutes circonstances depuis que nous logions chez vous. Sa corolle était légèrement rose, à peine plissée sur une peau très blanche. Je l’ai violée sans rien lui dire de mon sexe lubrifié de mes propres secrétions. Elle était tellement détendue que mon sexe s’est insinué tout entier en elle avant qu’elle ne pousse un cri. C’est la première fois que je l’entendais crier, de surprise, de douleur ou de plaisir, je ne le lui ai jamais demandé.

Immédiatement j’ai explosé dans son rectum. Mais mon sexe restait bandé. Alors, toujours fourré en elle, je me suis allongé sur le côté en l’entraînant. Puis j’ai caressé ses seins, car j’aime qu’une fille que je viens de prendre ait du plaisir et j’avais un peu honte de moi. Elle venait d’être ...