Agnès, première partie
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
sm,
init,
lettre,
Auteur: Amantdagnes, Source: Revebebe
... vite. Il me faudra du courage pour te donner certains détails. Je suis une femme et j’ai ma pudeur, mais tu sauras tout.
J’aimerais, si tu es d’accord, que toi aussi tu me dises ta vie. Je sais que tu n’auras pas la patience d’écrire, alors raconte-la à Patricia qui l’écrira. Elle doit avoir le temps lorsque tu es à ton travail. Et puis, prends aussi son vagin, Patricia n’est pas moi. Je t’aime. Ton Agnès. »
C’est un bien curieux concours de circonstances qui aura fait que, depuis le début de ma vie amoureuse et jusqu’à présent, je n’ai connu l’amour qu’avec deux garçons à la fois. Jamais encore je n’ai vécu l’étreinte d’un amant seul, tu seras le premier, et le seul si tu le désires, quelle que soit la façon dont tu me prendras. Au moment où nous avons fait ta connaissance, Pierre, Henri et moi, nous avions envisagé de nous séparer une fois les vacances finies. Tu vois, sans le savoir, je devais t’attendre !
Tout a commencé lorsque j’avais dix-huit ans ! Je venais de prendre connaissance de mes notes de français au bac. Dix-huit ! J’étais heureuse et exaltée. C’était une belle journée de fin juin chaude et lumineuse avec un petit vent qui soulevait les jupes plissées. À la descente du car, à Sainte-Marie sur Mer, je croisai ma grande sœur accompagnée de plusieurs de ses copains. J’en connaissais certains. Elle m’a présenté les autres. Tous m’ont serré la main ou m’ont embrassée sur la joue, sauf Etienne. Lui m’a embrassée sur la bouche, comme si c’était tout ...
... naturel, et m’a dit :
— Que tu es jolie, Agnès ! Ne trouves-tu pas, Denis ?
Il s’était tourné vers un grand garçon blond et sportif. Ils m’ont prise chacun par un bras et m’ont entraînée avec leur joyeuse troupe.
— Nous allons sur la grève, viens avec nous. Ta sœur nous a dit que tu es une championne de nage. Est-ce vrai ?
J’adorais la nage, en effet. Il m’arrivait souvent, même parfois en hiver, de venir sur les petites grèves de Sainte-Marie et de faire une ou deux heures de nage. J’étais imbattable parmi mes copines et je rivalisais avec les meilleurs des garçons. Ce qui m’inquiétait, c’était ma tenue. Je portais ce jour-là un simple tee-shirt bleu, une jupe plissée bleu foncé et une culotte de maillot de bain de la même couleur. Donc pour le bas, pas de problème ! Mais en haut, pas de soutien-gorge et jusqu’à présent j’avais toujours refusé de me promener seins nus. Que faire ? Et impossible de leur fausser compagnie, ils me tenaient fermement. J’étais d’humeur légère et après quelque pas j’oubliai vite ce grave problème. De toutes façons, j’étais très fière de mes seins minuscules. Ils étaient facilement excités et, à présent, ils pointaient agressivement au travers du tissu de mon tee-shirt.
J’en étais là de mes réflexions lorsque Etienne, sans me lâcher la main, s’était penché vers moi et me souffla à l’oreille :
— Regarde tes seins qu’est-ce que tu leur as fait, sont-ils toujours ainsi ?
Puis un peu plus fort :
— Eh ! Denis jette un coup d’œil sur ses ...