Agnès, première partie
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
sm,
init,
lettre,
Auteur: Amantdagnes, Source: Revebebe
... dit. Ils n’avaient d’ailleurs pas demandé ton avis. Dans ma carrière de photographe j’avais, à plusieurs reprises souhaité m’introduire dans la vie intime d’un couple pour le photographier, je n’y avais que très partiellement réussi une fois. Et voici que l’on m’offrait cette occasion et de surcroît avec une fille extraordinaire qui, manifestement, faisait l’amour avec les deux garçons.
Devant ton inquiétude, Agnès, je m’approchai de toi et posai simplement mes mains sur ta poitrine à peine voilée par un léger chemisier et je t’ai dit, te rappelles-tu :
— Agnès, n’aie pas peur, je serai tellement discret que tu m’oublieras très vite. Et pourtant je serai là pour vous surprendre, la nuit, le jour. Moi je suis d’accord si tu es d’accord ?
Tu as simplement baissé les paupières.
C’est ainsi que j’abordai l’expérience la plus extraordinaire de ma vie. Avec Patricia nous avons quitté nos chambres d’hôtel pour nous installer chez vous dans un studio directement attenant à la villa que vous aviez louée.
Patricia, tu la connais, est une grande fille toute simple, heureuse de vivre et de se donner. Nous faisions l’amour tous les jours assez classiquement, elle n’a pas hésité à me suivre mais elle n’a jamais voulu entrer dans votre maison. Bien souvent je revenais dans notre studio si excité de mes visites chez vous que je me précipitais sur elle pour me vider dans son vagin ou dans sa gorge puis nous faisions l’amour longuement. Elle était toujours à ma disposition, sans ...
... jalousie, comme à présent quand elle m’écoute et qu’elle écrit tout cela sous ma dictée.
Je n’ai pas arrêté de te photographier car, bien sûr, c’est toi qui m’intéressais. Je t’ai photographiée seule ou prise par tes deux copains. J’ai vite remarqué qu’ils étaient toujours très attentifs à te faire l’amour ensemble. Et je n’ai jamais vu des amoureux si légers, si heureux. J’ai surpris vos conversations pendant que vous faisiez l’amour, j’ai surpris vos chuchotements la nuit. Ainsi ai-je appris que tu ne prenais pas la pilule et que ta période féconde approchait. Tu devenais de plus en plus amoureuse et eux étaient de plus en plus excités. Il me semblait que tous trois vous attendiez cet instant avec un plaisir certain et très particulier. En tous cas, moi, je ressentais cette attente jusque dans mes fibres les plus profondes.
Un soir lorsque tu es arrivée de ton laboratoire, Pierre et Henri étaient à la maison; ils t’ont aussitôt entourée et serrée. Avec Pierre vous vous embrassiez sur la bouche, Henri, derrière toi, embrassait ton cou. Tu te laissais faire, heureuse. Lentement Henri avait dégrafé ton chemisier et découvert tes épaules et tes petits seins qui le fascinaient. Pierre, lui, avait passé ses mains sous ta jupe et caressait tes fesses. J’ai entendu l’un d’eux te dire :
— À partir de ce soir, Agnès, ton vagin ne peut plus nous recevoir.
Ils continuaient à te caresser et petit à petit tu t’es retrouvée nue dans leurs bras. Vous étiez tellement habitués à ...