1. Agnès, première partie


    Datte: 25/07/2018, Catégories: fh, fhh, vacances, plage, amour, volupté, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fdanus, fsodo, sm, init, lettre, Auteur: Amantdagnes, Source: Revebebe

    ... déserte où quelques couples et des enfants profitaient encore du soleil couchant. Le soleil irradiait ta peau qui se nuançait de couleurs délicates, tes cheveux blonds et courts prenaient la teinte de l’or rouge. Et tes yeux, vert d’eau, tranchaient sur ce paysage dominé par le jaune et le rouge. Je m’étais arrêté en face de vous. Tu avais les yeux ouverts et tu n’as pas cessé de me regarder. Ton sein gauche me faisait de l’œil et je l’entendais me dire :
    
    — Regarde-moi, vois comme je suis petit, admirablement rond, haut placé et de couleur éclatante. Ton regard sur moi fait durcir mon extrémité qui s’érige comme un petit doigt tout rose. Ne suis-je pas merveilleusement excitant ? Mon frère de droite est caché à ta vue par la main de l’un des amants d’Agnès mais il est comme moi, émouvant !
    
    Je ne sais combien de temps je suis resté ainsi silencieux, debout en face de toi qui ne bougeais pas. Comme un automate, en prenant tout mon temps, j’ai préparé mon appareil et j’ai cherché à recueillir sur la pellicule cet instant de douceur, de couleur, de nuances, d’excitation qu’offrait la rencontre de ton corps, du soleil, du sable et des mains de tes deux compagnons. Nous n’avions pas prononcé un seul mot.
    
    Puis j’ai continué mon chemin. Fiévreusement, le soir même, les yeux emplis de toi, j’ai développé les photos dans un laboratoire avec lequel j’avais passé un accord. Elles étaient magnifiques et terriblement érotiques. Ton corps était merveilleux et ton abandon entre tes ...
    ... deux copains émouvant. Il fallait que je te les montre ! Mais, vous retrouverais-je ? Et quand ?
    
    Biarritz, l’été, est un microcosme et j’ai bien vite repéré ton joli visage dans un café le lendemain soir. Tu étais accompagnée des deux garçons que j’avais vus à tes côtés sur la plage et qui, là encore, semblaient t’envelopper de leur présence. Je me posai bien des questions. Avec lequel faisais-tu l’amour ? Ou peut-être avec les deux ? Je m’approchai, tu m’as reconnu et tu m’as présenté à tes deux copains comme « le photographe qui, hier au soir, avait pris leur groupe en photo ». Manifestement ils étaient au courant et ils furent impressionnés par les photos que je leur montrai. Toi tu avais un peu rougi et tu n’as rien dit.
    
    Puis nous avons sympathisé. Avec nos photos étalées sur la table, la beauté de ton visage, les trois garçons qui te regardaient, tu faisais sensation autour de nous et j’ai capté à bien des reprises des regards admiratifs, envieux parfois. Peu de temps avant de nous quitter, alors que nous étions tous quatre debout, Pierre et Henri se sont concertés du regard et m’ont demandé si j’accepterais de venir habiter chez vous pendant une ou deux semaines et photographier leur trio. J’aurais toute liberté, quand je voudrais, où je voudrais et comme je voudrais. Sans me le dire vraiment ils ne m’ont pas caché que tu leur appartenais à tous les deux. Je t’ai regardée dans les yeux, tu étais encore plus troublée qu’au début de notre rencontre mais tu n’as rien ...
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