Agnès, première partie - Histoires de Sexe

Agnès, première partie

... commençait à onduler. Tu étais une vague de désir. Un brusque soubresaut de ton corps et du sien m’ont averti qu’il venait de te pénétrer, par derrière n’est-ce pas ? Tu t’étais immobilisée comme en attente. C’est lui qui a recommencé de bouger en de lents va-et-vient. Cela a duré longtemps. Puis je crois que vous vous êtes endormis tous les deux, lui dans toi sans avoir joui. Et votre chambre est retombée dans le silence. Ton corps brillait dans la lumière blanche de la lune. Un instant plus tard la lune s’est cachée et tout est retombé dans l’ombre. Je suis parti sur la pointe des pieds.

Dans notre studio je me suis couché à côté de Patricia sans la toucher. Lorsque je me suis éveillé, il faisait grand jour. Patricia penchée sur moi tentait de me réveiller en prenant mon sexe dans sa bouche. Je l’ai forcée à venir sur moi tête-bêche et jambes repliées. Son clitoris était à portée de ma langue et mes yeux contemplaient son anus que j’avais violé il y a quelques heures. Il s’était refermé sur une corolle plissée rosé sombre. De mes mains j’en ai caressé les alentours puis j’en ai effleuré le pourtour. Aussitôt que mes doigts ont touché la première plissure sa corolle s’est rétractée puis s’est mise à battre. C’était impressionnant de jouer ainsi avec son corps presque à l’insu de Patricia car manifestement je déclenchais des mouvements réflexes de son anus. Etait-ce appréhension d’être pénétrée, était-ce plaisir anticipé ? Puis mes doigts sont allés chercher un peu de sa ...

... mouille à l’entrée de son vagin. Au retour ils ont parcouru cet espace dur qui sépare les deux orifices. Patricia a commencé à onduler et j’ai su qu’elle ressentait un certain plaisir. Mes doigts ont caressé tout le pourtour de sa corolle qui se resserrait convulsivement. Alors j’ai posé mon pouce entre ses fesses au-dessus de son anus et je l’ai fait lentement descendre en appuyant. Une petite résistance de Patricia puis son anus s’est détendu et mon pouce a pénétré en elle, dans sa chaleur. J’ai rencontré un sphincter intérieur qui lui aussi s’est détendu. Mon doigt immobile sentait se serrer alternativement sa corolle puis son sphincter jusqu’à ce qu’elle se soit calmée comme si elle acceptait ma présence. J’étais tellement préoccupé par mon intrusion que je n’ai pu contrôler un orgasme que sa bouche avait déclenché en serrant mon sexe et brusquement j’ai giclé en elle. Sa tête a eu un recul mais bien vite je me suis retrouvé au fond de sa gorge.

J’étais repu mais elle n’avait pas eu son compte et je la sentais toute vibrante sous mes lèvres et autour de mon doigt. Mon sexe n’avait pas débandé mais un instant j’ai craint de ne pas la satisfaire à son tour. Alors je lui ai demandé de se redresser, mon doigt a quitté son anus et mes mains ont dirigé mon sexe sur sa corolle. Patricia s’est lentement abaissée en me tournant le dos. Il a fallu deux ou trois petite pressions pour que son anus m’accepte puis mon sexe a glissé tout entier en elle. Elle s’est immobilisée pendant ...