1. Une journée aux Andelys


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, ff, groscul, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Anette, Source: Revebebe

    ... la porte ; il n’y avait aucun bruit.
    
    Furtivement, je décidai une promenade nocturne, il n’y avait pas de clair de lune. Je retirai mes chaussures comme une gamine qui rentre trop tard. L’escalier ne craquait pas et je me retrouvai dehors. J’avais remarqué la petite caméra au-dessus de l’auvent : je me savais surveillée, mais aussi rassurée.
    
    L’allée qui menait à la piscine était bordée de rosiers dont le parfum s’exhalait dans la nuit.
    
    Les transats avaient été réalignés et il y avait, sur deux d’entre eux, des matelas et des draps de bain.
    
    Je m’allongeai pour profiter du calme de l’endroit. Au loin, un bruit de moteur : sans doute une moissonneuse qui coupait les blés.
    
    L’eau m’attirait, bien que je la sache fraîche. L’auvent de la maison était loin et masqué par les thuyas. J’hésitai un moment et me laissai tenter ; il n’y avait pas forcément des caméras partout. Je me déshabillai. L’eau était immobile. J’étais nue. Mon image se reflétait, un peu brouillée. Je me mise à l’eau, doucement, par l’échelle pour ne pas faire de bruit. Je fis deux longueurs et ressortis un peu frissonnante. Je me frottai énergiquement dans le drap de bain. L’air tiède fit le reste et je me rallongeai sur le transat.
    
    Je commençai à me caresser, doucement, sans insister. Les doigts qui effleurent, qui caressent. Mes grosses cuisses largement écartées, j’exposais mon sexe ; je jouais avec les lèvres turgescentes, le long clito durci.
    
    Un bruit me fit sursauter ; je refermai mes ...
    ... jambes brusquement. Maxime était là, juste à côté. Il était nu, le sexe tendu à la main.
    
    — Continue…
    
    Je ne me fis pas prier ; je ne voyais pas ses yeux, mais je savais qu’il fixait ma main entre mes cuisses. J’avais envie de lui. Son sexe superbe était dressé, dur, fier. Il s’approcha et je saisis sa verge ; ses testicules lourds pendaient. Ma main explorait son anatomie, le gland déjà mouillé.
    
    Je me masturbais de plus en plus vite ; il s’éloigna un instant, se posta au pied du transat : il me regardait. Je n’avais plus honte de mes formes, de mes grosses cuisses, de ma cellulite ; je voulais qu’il me regarde, qu’il bande pour moi.
    
    Il vint s’allonger sur moi ; je sentis son gland qui cherchait son chemin entre mes lèvres. Il me pénétra lentement, complètement, toute sa verge en moi. Je n’étais plus là ; je n’étais plus qu’un vagin qui voulait jouir. Ses va-et-vient puissants déclenchèrent un orgasme rapide et profond. Il continua à s’agiter en moi et je sentis le liquide chaud et onctueux se déverser dans mon sexe.
    
    Ma première pensée, lorsque je repris mes esprits, fut que cette fois j’avais vraiment trompé Alain.
    
    Maxime était sur moi, son sexe encore dans mon vagin.
    
    Nous nous séparâmes ; il déposa un baiser sur mes lèvres sans chercher à les entrouvrir.
    
    J’étais silencieuse ; il eut la délicatesse de ne rien me dire.
    
    Je m’enroulai dans la serviette et rassemblai mes affaires ; il fit de même. Nous remontâmes l’allée des rosiers silencieusement. Je ...
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