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Une journée aux Andelys
Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, ff, groscul, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Anette, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents : Je me retrouve seule pour les mois d’été alors que mon mari est à l’étranger. Je suis chargée de retrouver un certain nombre d’ouvrages rares pour un collectionneur de livres anciens. Je fais la connaissance de Mathilde, une libraire de Paris, qui m’entraîne dans une sorte d’itinéraire libertin. En fait, Maxime ne vint pas à la piscine. Il devait finir de préparer son mémoire pour son départ à Rome. Mathilde et moi avions remis nos maillots. Il y avait dans les salles de bain un grand peignoir blanc pour chacune. Le majordome qui était opportunément dans le hall nous indiqua que « Monsieur » nous attendrait pour vingt heures à la salle à manger sous la véranda. Il commença à expliquer comment nous y rendre mais Mathilde l’interrompit : — Je connais ! La piscine était dissimulée dans une sorte de petit écrin de verdure. Entourée de thuyas parfaitement taillés, elle était à l’abri du vent. Elle était en forme de grand haricot avec, sur une de ses extrémités, un bain à remous. Dans ce bain à remous il y avait deux hommes, sans doute ceux que j’avais aperçus en arrivant. Ils parlaient entre eux sans faire attention à nous. Ils devaient avoir la trentaine ; pour l’un d’entre eux, peut-être un peu plus. Les deux étaient plutôt fins pour ce que l’on pouvait en voir, les cheveux quasi rasés. Celui de gauche éclata de rire ; beaux yeux bleus pour ce que je pouvais en voir. Il se leva ; il était nu musclé. Le second était également nu ...
... et ils se comportaient comme si nous n’étions pas là. Ils étaient totalement glabres, très certainement épilés. Leur sexe était long plutôt fin. Mathilde et moi étions un peu figées, ne sachant trop quelle attitude prendre. Il y avait, chose rare, des transats à deux places et j’avais remarqué que les draps de bain des deux hommes étaient sur le même transat. Mathilde posa sa serviette sur un grand transat. Je m’assis à côté ; nous devions avoir l’air de deux gourdes. Les deux hommes firent le tour de la piscine et vinrent se présenter, toujours nus mais aussi dignes que s’ils avaient été en costume. Ils étaient anglais et travaillaient pour notre hôte dans une société d’importation d’objets d’art extrême-orientaux. Ils étaient souriants, polis, parfaitement bien élevés et manifestement homosexuels et en couple. Ils ne s’attardèrent pas après que nous nous soyons présentées nous-mêmes. Ils avaient de très belles petites fesses. L’un deux se retourna et, avec un grand geste du bras, nous indiqua la piscine. — Elle est à vous. Je remarquai un geste tendre de l’un qui posa sa main sur l’épaule de l’autre. Ils s’installèrent sur leur transat et se plongèrent dans la lecture de dossiers après s’être soigneusement essuyés avec des superbes serviettes de bain bleu pétrole. — Bon ! On se baigne ? Mathilde me sortit de cette espèce de torpeur qui nous avait envahies. Il faisait encore très chaud et la piscine dont le grand axe était plein sud était bien ...