Mère Madeleine et Soeur Teresa
Datte: 21/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... lui faisait prendre des pilules, sans doute fortement dosées, car ses seins grossissaient. J'adorais ses seins. J'adorais sa peau cuivrée, ses cheveux noirs, son sourire, sa gaîté, son regard de miel, ses cuisses, son ventre plat, son Mont de Vénus joliment bombé et les poils noirs qui le parsemaient. Le soir je récapitulais tout ce que j'aimais d'elle, et je cherchais vainement ce qui pouvait me déplaire. Je l'aimais comme on aime à 15 ans. Mais je devais partager sa tendresse avec Jean. Comme j'étais plus âgé que lui, je me plaisais à penser que c'était moi qu'elle aimait vraiment. Jean, c'était le petit qu'elle s'amusait à initier, et cette initiation relevait du service sexuel qui avait motivé son adoption. Nous nous sommes bien amusés des maladresses de Jean, de sa réticence à la feuille de rose. Il a vomi lorsque la chatte excitée de Teresa lui a bavé son nectar musqué sur la langue. Ce même nectar dont j'adorais lécher jusqu'à la dernière goutte.
Teresa me confiait ses tristesses. Marc et Mathieu cherchaient constamment à l'humilier. Ils tentaient de lui pisser dans la bouche. De vrais salopards, j'en étais révolté. Madeleine la défendait mollement et s'amusait plutôt des saletés des deux «grands». J'en pleurais d'entendre ses cris plus ou moins étouffés quand mes deux salauds de frères s'amusaient d'elle, cherchant à imiter les acteurs des films pornographiques.
Elle m'a aussi raconté que Madeleine, jalouse de notre amour passionné (Teresa m'aimait donc ...
... aussi!), l'attachait nue et frissonnante sur une chaise dans la cuisine, lui plantait des aiguilles dans les seins et lui faisait boire de grands bols de thé jusqu'à ce qu'elle pisse. Madeleine la photographiait. Elle échangeait les photos sur Internet contre d'autres du même genre, peut-être bien pires. «Estime-toi heureuse!» disait Madeleine d'un air sadique et mystérieux. Nue et à quatre pattes, Teresa devait ensuite nettoyer la cuisine. Comment notre mère, si dévouée, si aimante et sensuelle (Ah les douches avec elle!) pouvait-elle être aussi méchante et vicieuse, et surtout avec une fille aussi douce que Teresa? Elle lui arrachait un par un des poils du sexe. Si elle osait pleurer, Madeleine la fessait avec une cuiller en bois! J'en pleurais de tristesse et d'horreur. Pour consoler Teresa, je lui proposais des projets de fuite à deux. Mais avec bon sens, elle les jugeait irréalisables et dangereux. Je lui ai promis de l'épouser dès que je le pourrais. «Alors, il faut que tu travailles mieux au collège et plus tard au lycée!» Elle avait raison. «Oui, je le ferai pour toi!» Je lui promettais un petit appartement d'amoureux avec une grande terrasse où elle ferait pousser des herbes aromatiques. J'imaginais des voyages, des criques isolées où nous pourrions faire l'amour au soleil, léchés par les vagues à la marée montante, nous retenant de jouir jusqu'à ce qu'une vague nous submerge. (Je lui ai présenté comme mien ce petit fantasme inspiré de «La marée », une nouvelle d'André ...