1. Mère Madeleine et Soeur Teresa


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byValcour, Source: Literotica

    ... l'influence de ce prêtre louche, mais notre mère chérie avait la phobie de nous voir bander. Dès qu'elle voyait l'un de nos petits membres se redresser sous un pyjama, elle s'en emparait et le branlait énergiquement pour en extraire «le poison de Satan». De même qu'elle pourchassait sans relâche la poussière, elle considérait comme de son devoir de nous débarrasser de ce «poison». En fait de «petit membre», je parle pour le mien. Ceux de Mathieu et de Marc étaient déjà bien développés, c'est du moins le souvenir que j'en ai. J'admirais avec envie les touffes de poils châtain qui décoraient leurs bases, alors que mon «zizi» était dépourvu de tout poil. Le terme de «zizi» m'était réservé, Mathieu et Marc appelaient «zo-o-o-bs» leurs propres instruments, et «nouille» ou «pissoire» celui de Jean qui ne se dressait pas encore.
    
    Jean et moi dormions dans la même chambre. Tous les soirs, Madeleine allait s'asseoir au bord de son lit. Pour l'aider à s'endormir, elle lui racontait les histoires classiques de Blanche-Neige, Cendrillon et autres princesses. Elle murmurait les contes à son oreille comme si je ne devais pas les entendre mais Jean m'a dit qu'elle lui caressait la «quéquette». Elle guettait le jour où celle-ci commencerait à bander, tout comme une mère guette les premières règles de sa fille. Je ne sais pas si elle attendait ce jour avec anxiété ou avec impatience.
    
    Chaque matin elle installait à tour de rôle chacun ses trois «grands» sur le fauteuil tapissé de ...
    ... velours usé et taché qui avait été le siège favori de notre père Joseph. Assis sur «Le Fauteuil», fesses nues, le sexe à l'air, celui dont c'était le tour devait d'abord attendre qu'elle ait fini de se laver les mains, ce qui prenait un certain temps. Depuis, je ne peux pas voir une femme se laver les mains sans bander. A genoux aux pieds du fauteuil, elle commençait sa tâche masturbatoire avec une tendresse toute maternelle. Les trois autres regardaient distraitement et le plus souvent chahutaient, quelque peu las du spectacle à chaque fois identique. Ses mains enduites de crème massaient amoureusement la tige. Elles couvraient et découvraient lentement le gland, et deux doigts en anneau l'étranglaient délicieusement. Sauf quand l'heure d'aller au collège et au lycée approchait, elle faisait durer la montée du plaisir. Elle recueillait la précieuse liqueur dans un mouchoir en papier et appelait le suivant. Marc, le cadet, plus dégourdi que son aîné, lui demandait souvent : «Maman, tu veux pas nous sucer? Comme dans les films?» Mais elle s'y est toujours refusée, sous un argument confus de «pureté» ou de «chasteté ». Pendant qu'elle s'occupait de moi, je contemplais ses gros seins flasques qui nous avaient tous les quatre allaités. N'ayant pas le temps de s'habiller, elle nous branlait toute nue dans sa chemise de nuit. J'avais donc une vue plongeante sur ses seins laiteux parcourus de veines bleutées et qui valsaient de droite et de gauche au rythme de la masturbation. J'aimais à ...
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