Mère Madeleine et Soeur Teresa
Datte: 21/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... plaisir, et parfois les cris de Teresa, car ils prenaient leur plaisir sans la moindre attention à celui de Teresa. Madeleine allait de temps en temps vérifier qu'ils n'abimaient pas trop leur poupée vivante. Jean et moi, un peu timides, nous nous contentions de caresser son gros abricot à travers ses longs poils noirs, soyeux et clairsemés. Elle me laissait enfoncer deux doigts entre ses grosses lèvres pour récolter sa liqueur, et elle riait joyeusement de me voir ensuite les lécher avec délices.
Madeleine prenait du plaisir avec Teresa. Une après-midi, je suis revenu tôt du collège à cause de l'absence imprévue de deux professeurs. Je suis entré sans bruit dans l'appartement. (J'avais l'habitude d'être silencieux car cela me permettait de surprendre des scènes intéressantes. Ainsi, j'ai pu voir ma mère se caresser le bouton à l'air chaud de son séchoir à cheveux. Juste avant une visite de Frère Jacques, je l'ai aperçue se parfumer et de se peigner la touffe. J'ai aussi surpris mes grands frères à se sucer en 69. Ma présence de voyeur ne les a d'ailleurs pas particulièrement dérangés. Ils étaient plutôt fiers de leur audace. Comme dans les films!) Sur le grand lit, j'ai vu Teresa allongée sur le ventre, la figure entre les cuisses maternelles grandes ouvertes, occupée à lui sucer la chatte. Quel délicieux spectacle que celui de ses petites fesses rondes. Elle les serrait et les desserrait au rythme de son effort de succion, dont témoignaient des lapements mouillés et les ...
... râles de plaisir de Madeleine. Elles se sont ensuite léchées en 69. Teresa, de profil, me montrait ses petits seins pointus aux aréoles sombres qui s'agitaient doucement au rythme des ondulations de son dos. Elles ont crié ensemble, un vrai duo de chattes en chaleur. Je me suis alors installé dans le canapé du salon avec un magazine de télévision, mais je continuais à les écouter. Se croyant seules, elles sont sorties toutes nues, en riant comme deux complices. «Tiens, tu es là!» Elles sont venues me poser de chastes baisers sur le front. Il ne leur a pas échappé que j'avais été témoin de leurs ébats. J'avais les joues en feu. «Luc mon chéri, Teresa va s'occuper de toi. Elle est toute chaude.» Teresa m'a emmené sur le grand lit encore tiède. Nous avons fait l'amour sous l'œil bienveillant de ma mère. «Prend ton temps mon chéri. Ta grande sœur Teresa adore te sentir en elle.» Le plaisir de Teresa était intense et son souffle précipité. Ma mère montait et descendait ses grands ongles le long de ma colonne vertébrale, parcourue de délicieux frissons. Elle me palpait les fesses, me grattait le trou du cul et me pressait les tendrement les couilles. J'ai joui très vite. Dix minutes après, je bandais à nouveau et j'ai joui à nouveau. Teresa m'a récompensé de longs baisers. Je n'étais plus puceau.
C'est avec Jean et moi que Teresa prenait vraiment du plaisir, alors que les deux autres s'amusaient sur son corps. J'étais amoureux fou de Teresa, ma grande sœur initiatrice. Madeleine ...