1. Mère Madeleine et Soeur Teresa


    Datte: 21/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byValcour, Source: Literotica

    A 60 ans passés, j'arrive à l'âge où l'on aime parler de son enfance. L'époque en est suffisamment lointaine pour que mon récit ne nuise à personne. De plus, la plupart des protagonistes sont morts, et je suis seul face à l'écran d'ordinateur qui va accueillir mes souvenirs. J'espère surtout ne pas vous ennuyer.
    
    Nous étions quatre frères, éduqués, nourris et soignés par notre mère Madeleine. Mes deux aînés, Mathieu et Marc, d'âges très proches, complotaient toujours ensemble. J'étais le troisième. Elle et son mari Joseph m'ont nommé Luc. Jean, le petit dernier, est né quand j'avais 6 ans. Notre père est mort d'un accident du travail peu après sa naissance, et nous vivions à cinq d'une rente due à cet accident.
    
    Très soucieuse de notre santé, Madeleine passait beaucoup de temps dans sa cuisine à nous préparer des repas «sains». Je regrette de ne pas les avoir savourés comme ils le méritaient. De fait, les repas se passaient surtout en chamailleries et en disputes, ce qui ne récompensait pas notre mère de son dévouement.
    
    Madeleine était catholique. Il y avait sur tous les murs des crucifix et des images pieuses. Mais sauf à celle de Noël, elle n'allait pas aux messes auxquelles elle nous envoyait tous les dimanches, accompagnés d'une voisine ou parfois de son frère. Rigoriste à sa façon, elle était obsédée par la «pureté» : propreté de la maison, des corps, absence de produits nocifs dans les aliments et décence des conduites et des propos. Elle recevait souvent la ...
    ... visite d'un jeune prêtre en soutane, que nous appelions tous Frère Jacques. Madeleine s'enfermait à clé dans sa chambre avec lui pour de longs entretiens. Même en collant nos oreilles à la porte nous n'arrivions pas à percevoir le moindre gémissement de plaisir ni le plus insignifiant grincement de lit. Pourtant, les ressorts du lit grinçaient, nous le savions pour y avoir chahuté. Mathieu nous a montré une fois un emballage de préservatif qu'il a prétendu avoir trouvé sous le lit. Mais il avait très bien pu fabriquer une fausse preuve pour nous impressionner.
    
    Frère Jacques ne s'intéressait pas à nous. Il n'a jamais cherché à nous confesser, à nous catéchiser ni même à nous caresser. C'est étrange car les prêtres adorent les enfants, et pas seulement, comme chacun sait, pour imbiber de sottises leurs jeunes cerveaux et pour enfumer de culpabilité leurs plaisirs naissants. J'étais surtout jaloux de ce qu'il ne vienne que pour notre mère, d'autant plus qu'elle «s'habillait» pour lui. Alors qu'elle portait tout le temps des robes de coton élimées comme n'oserait pas en mettre une femme de ménage, elle mettait pour le recevoir un ensemble gris constitué d'une jupe trop courte qui boudinait ses grosses fesses et d'une veste trop serrée qui faisait d'horribles plis sous ses seins ainsi qu'un chemisier blanc sous lequel on apercevait un soutien-gorge noir. Pauvre maman! Elle était plus à l'aise débraillée dans sa cuisine qu'à tenter de faire l'élégante.
    
    Je ne sais pas si c'est ...
«1234...8»