1. Une petite page d'histoire


    Datte: 20/07/2018, Catégories: fh, hplusag, couple, amour, Masturbation pénétratio, fsodo, historique, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... j’entende.
    — Ce n’est pas beau d’écouter derrière les portes, Louise-Françoise !
    — Parlez pour vous, mon cher mari ! Ou devrais-je dire soudard, si j’en crois l’endroit où vous êtes actuellement enfiché !
    
    Sans cesser d’aller et venir dans ce sombre tunnel bien chaud, je rétorque :
    
    — Osez me dire que ça vous déplaît !
    — Ai-je dit le contraire, Maximilien ? Il me semble bien vous avoir dit, il y a peu de temps, que j’adore quand vous m’occupez de la sorte, quand vous m’envahissez…
    — Raison de plus pour continuer et recommencer ! Vous fûtes parfaite aujourd’hui, très en beauté, très appétissante ! D’ailleurs, ma fougue vous le prouve !
    — J’avais cru comprendre !
    
    Emporté par mon élan, je claque gentiment sa fesse :
    
    — Et pour tout vous dire, j’aimerais beaucoup que vous recommenciez ce petit jeu de séduction. J’adore montrer à tous ma bonne fortune vous concernant !
    — Vous êtes pervers, mon ami ! Mais j’y souscris…
    — Vous aussi, vous êtes perverse, ma mie !
    
    Elle se contente de rire un peu, tout en tortillant du bassin, ce qui me fait grand plaisir. Peu après, elle me demande :
    
    — Je peux vous poser une question indiscrète ?
    — Dites… il y a peu de secrets entre nous, il me semble.
    — Cette question concerne vos précédentes femmes.
    — Dites toujours…
    — Vous leur faisiez la même chose ? Je veux dire, la même chose que vous êtes en train de me faire par derrière ?
    
    Décidément, ma jeune femme s’affranchit, ce qui n’est pas pour me déplaire ! Tout en ...
    ... continuant mon assaut en elle, je réponds :
    
    — Disons que ce fut graduel… Je reconnais sans problème que je me permets beaucoup plus de choses avec vous qu’avec ma première épouse. Mais en ce temps-là, j’étais un jeune perdreau qui ne connaissait pas grand-chose de la vie.
    — Ah, vous vous permettez plus de choses…
    
    J’agrippe ses hanches à pleine main :
    
    — Oui, je tiens à vous faire profiter de mon expérience…
    — Vous êtes trop bon ! Vous me faites profiter et vous en profitez, vous aussi.
    — On ne peut rien vous cacher !
    
    Je sens distinctement qu’elle accélère les mouvements de ses doigts dans sa fente baveuse. De mon côté, je coulisse sans vergogne en elle, lui faisant sentir que je suis du côté du manche et elle du fourreau. Elle proteste faiblement :
    
    — Ah, Maximilien, vous me déchirez ! Mais en même temps, c’est si bon ! Si… si dégradant et jouissif ! Ah, combien de Pater et d’Ave Maria va-t-il falloir que je dise ?
    — Vous n’êtes pas obligé d’en parler à votre confesseur.
    — Mais c’est mal devant Dieu !
    — Ma chère femme, c’est à moi que vous devez obéissance, et moi, je vous dis que cela est juste et bon, et qu’il n’est nul besoin d’aller s’épancher auprès de votre confesseur. D’ailleurs, celui-ci est un petit vicieux pervers qui raconte tout ce que les dames lui confient !
    — Ah bon ? Comment savez-vous ça ?
    — Je le sais ! En attendant, subissez et jouissez !
    
    Ceci dit, je la pistonne de plus belle, presque férocement, tandis que ses fins doigts s’activent ...
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