Une petite page d'histoire
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
amour,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
historique,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... quoi avoir peur d’être votre femme, quand on sait ce qu’il est advenu des précédentes !
— Je sais, mais je n’y suis pour rien dans ces diverses mésaventures. Je vous signale que j’ai vécu heureux avec ma seconde femme presque quinze ans, avant que la maladie ne l’emporte.
— Je vous signale aussi que votre dernière épouse n’a pas tenu trois mois avant que survienne cet accident de carrosse…
— Je sais, je sais… si j’étais de nature superstitieuse, je pourrais croire que j’ai marché plein de fois dans ma jeunesse sur des queues de chat noir !
Posant son éventail sur ses genoux, elle sourit :
— Vous avez blasphémé combien de fois dans votre jeunesse ?
— J’ai toujours évité de mêler Dieu et Diable dans mes arrangements.
— À la réflexion, je ne suis pas si étonnée que vous me proposiez le mariage…
— Et pourquoi donc, Madame ?
— J’ai pu voir les portraits de certaines de vos épouses ; elles et moi avons certaines similitudes…
— Je reconnais avoir une inclination pour un certain type de femme…
Il est vrai que Louise-Françoise ressemble assez fortement à ma seconde épouse, ma préférée, et que je devine en elle des dispositions flatteuses et intéressantes. Depuis que le temps où j’étais jouvenceau, j’ai pu constater que j’étais attiré par un certain type de femme, et que j’ai rarement dévié de ma prédilection initiale. Il n’y a eu que deux exceptions, et ce furent d’ailleurs deux erreurs.
Devenant plus sérieuse, Louise-Françoise change de conversation :
— ...
... Pourquoi ne pas avoir demandé ma main à mon tuteur ?
— Sauf erreur de ma part, il me semble que ce soit bien vous la principale concernée, et votre tuteur ne vous a été d’aucun secours lors de votre séjour au lointain, je dirais même qu’il est devenu subitement sourd, aveugle et muet. De ce fait, je vous considère comme émancipée. De plus, votre Protectrice, la Reine-Mère, peut remédier à bien des choses.
À ces mots, mon interlocutrice devient songeuse, puis elle sort rapidement de sa rêverie :
— Combien de temps me laissez-vous pour vous donner une réponse ?
— Jusqu’à demain, par exemple…
Elle me regarde, la bouche et les yeux grands ouverts pendant quelques secondes, puis elle finit par articuler de véhémente façon :
— De… demain !? Vous vous gaussez !
Devant son expression ahurie, je pars d’un rire franc :
— Rassurez-vous, je me gausse. Néanmoins, n’attendez pas une année pour me répondre.
— Vous avez d’autres partis en vue ?
— Moi non, mais quelque chose me dit que certaines personnes y songeront à ma place. La Reine-Mère n’aime pas trop qu’il y ait autour d’elle des veufs ou des célibataires… Et j’ai déjà dû dire quatre fois non à ses suggestions. Mais je commence à être en manque d’excuses valables !
Elle esquisse un sourire :
— Je vous promets de ne point vous faire languir, disons après-demain en début d’après-midi, si vous le voulez bien…
— Déjà ? Vous avez toute ma reconnaissance d’avance. Sur cette bonne nouvelle, je vous prie d’accepter mes ...