Une petite page d'histoire
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
amour,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
historique,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... pour que mes doigts se couvrent de cyprine. Je continue mes agaceries, puis je frotte mon vit bien dur de ce liquide légèrement collant. Ensuite, je recommence ce petit jeu plusieurs fois.
Je décide qu’il est grand temps de passer aux choses sérieuses : je taquine son petit trou, le maculant de cyprine. Celui-ci s’évase petit à petit, me facilitant la tâche. J’aime passer par cette porte obscure, un sentiment de puissance, de possession m’envahissant quand je le fais. Sans parler du fait que je ne risque pas de fâcheuses venues, neuf mois plus tard. Mon épouse est d’ailleurs d’accord avec moi sur ce point : il vaut mieux contrevenir aux règles édictées par les prêtres, même s’il s’agit d’un péché plus ou moins mortel. D’ailleurs, ce ne sont ni les prêtres ni les moines qui élèvent les enfants.
— Vous sentez-vous prête, ma chère épouse ?
— Je me sens prête à vous sentir bien en moi, mon cher époux !
C’est si bien dit que j’aurais mauvaise grâce à ne pas entrer !
Ma femme s’aplatit un peu plus sur le buffet bas, m’offrant ses fesses. J’écarte les deux masses blanches entre mon pouce et mon index, afin de dégager au mieux une entrée dans laquelle je m’oublie souvent. Puis délassant momentanément son clitoris que j’agace depuis le début, je dépose, du bout des doigts de mon autre main, de la cyprine sur mon gland et dans la cuvette. Ceci fait, je guide mon braquemart pour qu’il soit dans le bon angle. Je sens la cuvette qui s’évase, alors je force mon avantage à ...
... enfoncer la moitié de mon vit dans ce sombre et chaud tunnel.
Ma femme soupire. Penchée sur elle, je lui ordonne :
— Ce soir, Louise-Françoise, ce sera à vous de plonger vos délicats doigts dans votre fente afin de vous donner du plaisir.
— Quelle exigence, Monseigneur !
Néanmoins, elle s’exécute, ses doigts plongent dans son intimité pour venir exacerber ses sens ainsi qu’un clitoris qui n’attendait que ça. C’est avec délectation que je poursuis ma plongée coulissante dans ses entrailles, et peu de temps après, j’ai le plaisir d’être enfoncé jusqu’à la garde.
Dans notre beau monde, ce genre de pratique est plutôt réservé aux filles à soldat, bien que j’ai cru comprendre que certaines épouses acceptaient cette pratique par contraception, enfanter n’est pas de tout repos pour une femme, et certaines y laissent malheureusement la vie. C’est avec ravissement que je pistonne ma femme et je lui fais savoir :
— Que je suis bien en vous, Louison ! Un vrai régal !
— J’en suis fort aise ! Moi aussi, j’aime vous sentir en moi ! J’adore quand vous m’occupez de la sorte, quand vous m’envahissez !
— C’est un vocabulaire d’armée que vous utilisez là, ma chère épouse !
— Oh, je le sais très bien, petit canaillou ! C’est ainsi que vous traitiez les filles lors du repos du guerrier.
Un peu étonné, mais amusé, je demande :
— Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
— Je ne suis pas née de la dernière pluie, figurez-vous, et je sais parfois écouter ce qu’il ne faudrait pas que ...