Une petite page d'histoire - Histoires de Sexe

Une petite page d'histoire

... partout !

Je me racle la gorge :

— Ce sont vos demoiselles d’honneur qui m’ont donné l’idée…
— Mes demoiselles !? Comment diable !?
— Ça s’est passé dans les jardins, elles discutaient en agitant leurs bras parce qu’elles étaient séparées par un petit canal…

La Reine-Mère part d’un grand éclat de rire qui fait se retourner la moitié de la salle. Elle reprend son souffle quelques instants plus tard :

— Ah, mon cher, vous avez le génie de dénicher des avancées, même dans la plus grande futilité ! Oui, je comprends parfaitement qu’il faudra que je garde le silence durant un certain temps, afin que les autres tours fassent leur œuvre…
— Je vous en remercie d’avance.

Sous l’œil courroucé de son fils aîné, la Reine-Mère s’amuse avec mon nouveau et récent beau-fils. Alors le Roi se préoccupe ostensiblement de sa nouvelle maîtresse en titre, mais je vois bien que la blonde donzelle n’est pas dupe. Je suppose d’ailleurs qu’elle ne fera pas long feu dans les bras de notre souverain.

Durant les heures qui suivent, ma femme et moi discutons, nous devisons avec diverses personnes. Je constate avec amusement que, très souvent, les hommes glissent un œil intéressé dans le profond décolleté de mon épouse, sans prendre garde à l’ire de leurs propres femmes, pas très contentes de l’égarement de leurs regards…

Et les plus âgés ne sont pas plus sages que les plus jeunes…

Alors que nous sommes enfin de retour dans nos appartements, un peu fourbus par toute cette ...

... journée bien remplie, un petit sourire en coin, ma chère femme demande :

— Tout a été comme vous le souhaitiez ?
— Assurément oui ! Et ne jouez pas la modeste, vous y avez été pour quelque chose dans l’idée initiale. En tout cas, je puis vous assurer que vous avez brillé de mille feux, tel un véritable soleil, sans parler des appas que vous avez offerts à la vue de tous.

Elle rosit sous le compliment :

— Et surtout à celle du Roi, n’est-ce pas ?
— Lui et bien d’autres… Vous voici partiellement vengée.
— Partiellement, comme vous dites. Néanmoins, j’avoue sans fard que je suis fort aise que vous soyez mon mari.
— Vous m’en voyez ravi !
— Je n’en doute point, vous savez très bien profiter de moi.

J’entoure sa taille de mon bras pour l’attirer contre moi :

— Quel mari ne profiterait-il pas d’une femme telle que vous ? Néanmoins, malgré la bonne position que nous avons actuellement, il convient de faire attention. Malheureusement, la Reine-Mère ne sera pas éternelle, et viendra peut-être le temps du retour de bâton, car le Roi sait être rancunier.
— Je vous fais confiance pour voir venir ce temps-là et vous positionner autrement.
— En parlant de position, retournez-vous, relevez donc vos jupons puis penchez-vous que je vous fasse sentir toute l’affection que j’ai pour vous !

Tout en s’exécutant, elle rit.

Tandis qu’elle me présente son séant, jambes bien écartées, ma main commence une douce caresse sur l’orée de son mignon con. Il ne faut pas bien longtemps ...