La mer du diable (1)
Datte: 18/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... gémir sous ce câlin terriblement ciblé. Ensuite l’escapade se poursuivit pour cette voyageuse habile.
Elle atteignit le cou, après une halte peu prononcée sur la joue. Tout était feutré, sans heurts, par souci sans doute de ne pas éveiller l’endormi. La bite, plus bas, se dévergondait elle aussi, trop vraiment. Elle devait apercevoir la bosse qui déformait le tissu des deux pans du vêtement. Il eut une espèce de crainte ; que sa bête déborde et montre le bout de son nez. Mais n’était-il pas déjà trop tard pour songer à ce genre de détail ? Les doigts de Louisa dévissaient dangereusement sur le torse du jeune homme.
Il ne put s’empêcher de lâcher un soupir alors qu’une pince attrapait son téton. Elle avait penché son visage sur le sien et dans cette fente qu’il ne voulait pas entrouvrir davantage de peur d’être démasqué, il voyait deux yeux clairs qui le scrutaient. Dans son déplacement pour se courber encore plus, la propre tenue de Louisa aussi s’entrebâillait et un de ses seins surplombait la face de Léo. Quel délicieux présent que cette colline blanche à la cime sombre ! Rien ne s’arrangeait du côté de son entrejambe.
Alors lorsque la femme se mit à marmonner, sa verge n’en avait pas fléchi pour autant.
— Jamais plus je ne te laisserai repartir Grégoire. Nous aurions dû faire cela plus tôt. Tu m’as véritablement fait défaut et mon corps aussi t’a réclamé. Je sais, c’est moi qui n’ai pas voulu, pas su, pas compris que tu en avais besoin.
— ...
Léo ...
... écoutait cette confession que d’une voie basse elle lui murmurait. La voix suave qui lui narrait des éléments d’une autre vie lui donnait la chair de poule. Mais elle l’envoutait également. Et les mains de la rousse n’avaient pas cessé leur massage hors du temps.
— Mais je te le promets, je te donnerai tout ce que tu veux ! Tu ne repartiras plus, je te jure que tu seras comblé. Tu es beau mon grand, quand tu dors... Je veux aussi t’aimer comme tu le souhaitais, avant que tu ne me fuies. C’est à cause de moi que tu n’es plus revenu ?
Elle griffait de ses ongles la peau du ventre, entre ombilic et cette fourche où le garçon avait toujours et encore une érection démente. Cette femme lui avouait qu’elle pourrait faire l’amour avec lui ? Mais c’était dans son esprit aussi que ce serait profiter d’une situation et le rendrait coupable d’un abus qu’il ne supporterait pas. Alors Léo optait pour un réveil précipité.
— Non ! S’il vous plaît ! Je ne suis pas, ne serai jamais votre fils... Madame, je vous en supplie ; je ne veux pas...
— Allons ! Tous les hommes aiment bien ce genre de choses. Et si c’est le prix à payer pour te garder...
— S’il vous plaît ! Ne me torturez pas comme ça ! Vous êtes belle, eh oui, oui j’ai envie de vous, mais pas comme ça. Je ne veux pas, ne peux pas faire semblant.
— Laisse-toi faire Grégoire. Il te suffit de fermer les yeux, et tout va bien se passer. Moi aussi j’ai envie de toi. Enfin de ce que mes doigts effleurent, j’ai besoin de te sentir, ...