1. Telle mère, telle fille


    Datte: 17/07/2018, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, copains, grosseins, groscul, fsoumise, confession, Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe

    ... d’escarpins aux talons vertigineux. Nous étions en vacances. Maman travaillait encore. Je demandais à Maman si je pouvais emmener les copines en boîte. Elle dit que oui et me faisait promettre de ne pas boire et d’être prudente.
    
    Je mis une jupe mi-cuisse noire, relativement courte, un chemisier avec un soutien-gorge en dentelles et mes talons aiguilles, heureusement, je m’étais bien entraînée sinon je n’aurais pas fait cinquante mètres. Je me maquillais un peu plus que d’habitude et nous voilà parties. Vers quatre heures du matin, alors que j’avais déposé mes copines chez elles et que j’avais quand même légèrement picolé, je bataillais à vouloir rentrer la voiture dans le garage. Soudain, Robert est apparu devant le capot. J’ai failli faire un infarctus tellement j’ai eu peur. Je suis sortie de la voiture, il m’a regardé comme à son habitude et a sifflé.
    
    — Dis donc, tu es drôlement mignonne comme ça, dis donc. Une vrai petite femme. Tourne voir un peu ?
    
    Je n’en fis rien et lui demandai de bien vouloir m’aider à rentrer la voiture. Il accepta en l’échange d’un bisou. J’acceptai. Il rentra la voiture, je lui demandai ce qu’il faisait à cette heure, il me répondit qu’il sortait les poubelles, comme souvent.
    
    — Allez, donne-moi mon bisou maintenant.
    
    Je me suis approchée timidement de lui et j’ai tendu la bouche pour l’embrasser sur la joue. Il se laissa embrasser puis, me prenant par la taille, il me souleva et m’embrassa sur la bouche. Sa grosse langue se fraya ...
    ... un passage entre mes lèvres et nos langues se mêlèrent. Les images de ma mère chevauchant sa grosse queue défilaient dans ma mémoire comme si je les avais sous les yeux. Il me tenait par les fesses sous la jupe. Il se mit à me malaxer les fesses fermement et à me les écarter tout en les pétrissant. J’ai adoré cette sensation. Puis il m’a entraînée dans le local à poubelles, m’a collée contre le mur, j’ai passé mes jambes autour de ses reins, après m’avoir baisée, il a trouvé bon de rajouter :
    
    — Putain, t’es aussi chaudasse que ta salope de mère.
    
    J’ai récupéré mes clefs sans rien dire puis je suis rentrée. J’ai pris une bonne douche et je me suis couchée, fier de m’être fait baisée comme une moins que rien dans ce local à poubelles.
    
    Je ne faisais que penser à Robert, j’avais envie qu’il recommence. Lui ou un autre, peu importe, je voulais me faire prendre. Je voulais sentir un sexe dans mon corps. Un matin, alors que j’étais encore au lit, on frappa à la porte. J’avais sur moi un long tee-shirt de nuit qui descendait un peu sous les fesses et une petite culotte. Pieds nus, j’allais jusqu’à la porte pour ouvrir. Robert se tenait debout devant moi.
    
    — Tiens, t’es là toi ? Ta mère est là ?
    — Non, elle travaille aujourd’hui.
    
    Je sentais son regard sur mon tee-shirt sous lequel mes gros seins nus pendaient négligemment. Aussitôt mes tétons se sont mis à bander tendant le tissu de mon tee-shirt.
    
    — T’as froid ?
    — Non ! répondis-je comme une idiote, ignorant où il ...
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