Telle mère, telle fille
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
jeunes,
copains,
grosseins,
groscul,
fsoumise,
confession,
Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe
Maman a, apparemment, toujours trompé Papa. D’aussi loin que je me souvienne, je ne me rappelle pas avoir vu d’hommes aller et venir à la maison, mais je me souviens que les jours de vacances scolaires, j’étais assez souvent chez la nounou qui habitait dans un autre appartement de l’immeuble. Nous habitions à Metz-Borny dans les HLM, au cinquième sans ascenseur. Un grand appartement de 90 m² avec balcon. À gauche, en entrant, se trouvait la cuisine, les toilettes, une chambre d’ami, ma chambre avec un cabinet de toilette, puis au bout du couloir, la salle de bain, à droite au fond la chambre de Maman et enfin la salle à manger. Le balcon reliait le salon à la chambre de mes parents. Évidemment, caractéristique particulière de ces appartements, des murs en papier à cigarette aux travers desquels on entendait tout comme si on y était.
Maman n’avait pas la jouissance très discrète et c’est assez souvent qu’elle me réveillait la nuit par ses gémissements ou ses cris. Les voisins devaient d’ailleurs en profiter parce que mes copines de l’immeuble me disaient qu’il arrivait à leurs parents d’en parler à table en des termes assez crus.
J’avoue qu’à l’époque ça me dérangeait beaucoup que ma mère passe pour une salope et j’imaginais bien, ce qu’on pouvait dire d’elle dans le quartier.
Tout bascula un soir où Papa est rentré furax. Il vociférait dans le salon après Maman. Je n’entendais pas très bien ce qu’il disait sur le coup, mais il criait tellement fort que rapidement je ...
... compris que c’était grave. Les voisins aussi sans doute. Je sortis alors discrètement de ma chambre pour essayer d’entendre se qu’ils disaient. Papa traitait Maman de salope, de pute, de traînée. Il disait qu’elle n’en avait jamais assez, qu’il avait fallu, en plus, qu’elle se tape tout le quartier pendant qu’il travaillait. Qu’il était la risée de l’immeuble, qu’apparemment, les gens le surnommaient «le cocu du cinquième ». Bref ça bardait. Maman ne disait rien.
Comment ça ? «En plus » ! En plus de quoi ?
Papa était, à l’époque, car je ne sais pas ce qu’il est devenu, routier international. Toujours sur les routes, il était souvent absent. Il passait des semaines à l’étranger et ne rentrait finalement que peu. Maman était secrétaire dans un cabinet d’assurance.
Papa était un grand gaillard de 120 kg. Légèrement dégarni, une belle bedaine et un franc parler. Maman, elle, plutôt petite, brune aux cheveux mi-longs, une énorme paire de seins et un fessier assez large. J’ai d’ailleurs hérité de sa forte poitrine. Bien qu’un peu plus fine qu’elle à mon âge, je fais un bonnet de plus. Ce qu’elle a pour elle, c’est un visage d’ange, à qui on donnerait le bon dieu sans confession. Qui l’eût cru ? Pas Papa, qui confirmait ses doutes, bouclait une petite valise et nous quittait sans autre forme de procès. Je me suis toujours demandé comment, ce jour-là, il ne lui avait pas arraché la tête d’une simple gifle.
Bref, Papa parti, Maman pleurait sur le canapé le visage dans les ...