1. Telle mère, telle fille


    Datte: 17/07/2018, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, copains, grosseins, groscul, fsoumise, confession, Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe

    ... professeurs, j’aurais changé la façon de m’habiller.
    
    J’avais une grosse poitrine, j’en étais fière et j’avais tendance à plus ou moins l’exhiber dans des décolletés profonds ou des chemisiers translucides qui laissaient deviner mes soutiens-gorge. Je portais des jeans serrés qui me moulaient bien les fesses, pas trop grosses encore à l’époque et parfois de petites jupes mi-cuisses. Ma mère, à cette époque, me maquillait légèrement, mais me refusait encore les hauts talons. Je voulais tellement lui ressembler.
    
    Robert, le gardien, se caressait doucement tout en regardant maman.
    
    — Allez ma belle, viens me sucer,
    
    Maman monta à quatre pattes sur le lit et commença à le branler doucement, déposant de petits baisers sur le gland. Puis avec sa langue, elle remonta le long de sa queue pour la prendre dans sa bouche et se l’enfoncer toute entière. Robert poussa un long râle de contentement.
    
    — Hummm, t’es la reine des suceuses.
    
    Je voyais le gros cul de maman s’agiter dans la glace sous les caresses de Robert qui ne tarda pas à lui écarter le string pour lui mettre un doigt dans la chatte, puis deux. Il les ressortait luisant de mouille. Le spectacle était fascinant. Maman le suçait en lui massant ses grosses couilles. Il la branlait sans ménagement et maman avait l’air d’apprécier le traitement puisque je l’entendais gémir, gémissements étouffés par l’engin qu’elle suçait. Parfois, elle relâchait la queue de Robert pour pousser un long râle de ...
    ... contentement.
    
    Rapidement maman monta sur lui et, d’une main, dirigea sa queue à l’entrée de sa chatte. Elle devait avoir du mal à entrer parce qu’elle y allait doucement en poussant de petits soupirs. D’abord face à lui, je voyais son gros cul monter et descendre sur cette hampe de chair gonflée de sang. Puis elle se retourna dos à lui pour reprendre sa chevauchée fantastique. Je voyais les gros seins de maman monter et descendre à un rythme effréné. Il l’insultait copieusement, la traitant de tous les noms et plus il l’insultait plus elle prenait son pied en criant des « oui, oui, oui » à chaque fois qu’elle s’empalait jusqu’à la garde, de tout son poids. Pour finir, après avoir hurlé sa jouissance à en alerter tout le quartier, elle se jeta sur la queue de Robert pour la nettoyer.
    
    J’avais les joues en feu. J’étais dans un état comme jamais. Je me suis enfuie discrètement pour aller chez une amie et rentrai à l’heure habituelle. Maman m’attendait en robe de chambre comme si de rien n’était, fraîche et détendue. Toute la nuit, la scène repassa devant mes yeux, j’étais bouillante, transpirante, ma chatte devenait humide malgré moi. Je me suis caressée doucement découvrant la sensibilité de mon clitoris. Je sentais que quelque chose montait en moi, j’ai dû mordre mon oreiller pour ne pas hurler quand la jouissance m’a terrassée. Je venais de jouir pour la première fois.
    
    Je ne regardais plus Robert de la même façon. Je savais que maintenant, quand Maman ne travaillait pas, c’est Robert qui ...
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