Telle mère, telle fille
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
jeunes,
copains,
grosseins,
groscul,
fsoumise,
confession,
Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe
... venait la sauter. Je l’ai surpris une ou deux fois sortant de notre entrée, le sourire aux lèvres.
Maman, m’a offert mon permis de conduire et ma première paire de talons aiguilles, je m’en souviens encore, 7 cm de talons, je trouvais ça énorme à l’époque. Je les ai aussitôt essayés et j’ai failli me péter dix fois la cheville. Mais je n’en démordais pas.
Nous avions, organisé, avec des copains une soirée dans une salle des fêtes réservée. On devait tous dormir sur place dans des sacs de couchage ou dans des tentes plantées sur la pelouse dehors, avec l’accord du maire, à condition de débarrasser le plancher le lendemain avant midi, histoire de ne pas ruiner la pelouse. Nous avons donc planté les tentes puis fait les courses. Beaucoup d’alcool et finalement pas trop de truc à manger. Très tôt, Maman m’a fait prendre la pilule et m’a expliqué comment me servir d’un préservatif, elle me disait qu’on ne savait jamais et qu’à mon âge, on tombait amoureuse comme on attrape un rhume et que mieux valait prévenir que guérir. Elle savait de quoi elle parlait.
Donc nous voilà partit à picoler, danser, chanter. On faisait des jeux idiots : la danse du tapis, le quart d’heure américain, etc. Un garçon, assez mignon d’ailleurs, ne cessait pas de me coller. Gentil, mais un peu encombrant. Il était toujours là, à mater dans mon décolleté. Faut dire que ce soir-là, je portais un tee-shirt blanc moulant en V, sans soutien-gorge. À mon grand regret d’ailleurs, en y repensant, car ...
... mes seins me faisait finalement plutôt mal au dos à force de danser et de sauter partout. De plus, ils avaient tendance à faire remonter mon tee-shirt.
Alors que la soirée avançait et que j’étais drôlement attaquée, il m’a invitée à danser un slow. Les couples se formaient doucement, certains s’embrassaient, d’autres se pelotaient gentiment. Lui, avait posé les mains sur mes fesses, et j’ai été surprise qu’il soit finalement si entreprenant, les yeux rivés dans le V de mon tee-shirt, il ne décrochait pas un mot. Pour un bon coup, je l’ai pris par la main, je l’ai entraîné dehors et j’ai relevé mon tee-shirt, libérant du même coup mes seins.
— Tiens, les voilà. Puisque t’en rêve depuis le début de la soirée, mate-les un bon coup, fais-toi plaisir.
Toujours sans rien dire, il les a pris à pleine mains et les a soupesés. Je n’en revenais pas. Puis il m’a entraînée dans sa tente et il m’a fait l’amour. Quand il a eu fini, je suis partie danser le laissant seul avec sa bite. Je n’avais rien ressenti, si ce n’est un profond regret de l’avoir laissé faire car je venais bêtement de perdre ma virginité. J’ai été très déçue de cette expérience, mais il paraît que c’est souvent le cas la première fois. Je repensais à ma mère et à Robert qui prenaient tellement de plaisir à le faire. J’en étais jalouse, je les enviais.
Un mois plus tard, Maman avait préparé une petite fête entre amis. Des copines à moi étaient venues avec des cadeaux (cd, vidéo, maquillage, etc.) et une paire ...