1. Val Thorens


    Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, jeunes, vacances, sport, froid, amour, Oral pénétratio, Auteur: Damien X, Source: Revebebe

    ... cris divers et variés qu’elle poussait quand le plaisir l’emportait.
    
    J’aurai dû lui proposer de la suivre à Londres, lui dire que pour elle j’abandonnais ma vie de bohème et que j’allais me mettre à travailler sérieusement. Je suis resté muet.
    
    J’étais trop jeune. Trop jeune et con. Je pensais stupidement que des filles comme elle, j’en rencontrerais d’autres. Je les cherche encore.
    
    — Je n’en reviens pas, poursuivit-elle après un long moment de silence. Avec lui, je ne jouis que rarement ; avec toi, c’est mon troisième orgasme. Mon corps me dit de rester avec toi, mais ma tête me dit que ce serait une folie. Je ne te connais pas. Vous êtes si différents. Chris ne pense qu’à ses examens. Il est gentil, généreux, travailleur ; il va réussir, je n’en doute pas une seconde. Toi, tu es ouvert aux autres, tu voyages, tu te fous de gagner de l’argent.
    — On a tout le temps de se revoir. Tu vas me donner ton mail et ton portable. On s’appellera.
    — Pour quoi faire ? Le rendre jaloux et malheureux ? Il ne le mérite pas.
    
    Elle regarda sa montre, vit que le temps avait passé à une vitesse folle. Elle se pencha sur mon ventre et prit mon sexe dans sa bouche. Je compris que c’était mon cadeau d’adieu. La fellation était maladroite, elle ne savait pas s’y prendre. J’eus envie de lui dire « Attention à tes dents ; essaie d’aller plus loin ; lèche bien avec ta langue à chaque passage… » mais c’était si merveilleux de la voir essayer de faire de son mieux que je n’ai rien dit. De ...
    ... toute façon, le résultat était là. Alors que je me croyais incapable de lui faire l’amour une troisième fois, je suis redevenu raide comme un manche de pioche.
    
    — J’ai bien aimé tes doigts, tout à l’heure… me glissa-t-elle en regardant son œuvre.
    
    Ce qui signifiait « Je t’offre mes reins. Je n’ai jamais fait ça de ma vie, je veux le faire avec toi. » Mais j’étais trop jeune, sans expérience. Je ne connaissais pas à l’époque le langage indirect des femmes. Depuis, j’ai appris que quand elles disent, par exemple, « Chéri, comment trouves-tu ces boucles d’oreilles ? » cela veut dire en fait « Chéri, j’aimerais trop que tu me les offres ! »
    
    Je ne savais pas non plus que souvent elles permettent beaucoup plus de choses à leurs amants qu’à leur mari. Je n’ai donc rien compris à son désir secret. À ma décharge, une seule de mes rares petites amies avait été assez délurée pour me permettre de la sodomiser, et elle n’avait cédé à mon désir qu’au bout de plusieurs mois.
    
    Je l’ai mise à quatre pattes au bord du lit, la tête dans les bras, les fesses pointant en l’air ; mais au lieu de m’enfoncer un peu plus haut, j’ai planté mon sexe dans son vagin. Je l’ai agrippée solidement par les hanches et j’ai commencé à la marteler à grands coups de reins en accélérant progressivement la cadence. Au bout d’un bref moment, elle se remit à couiner. Quand elle se cambra d’elle-même en feulant, je compris qu’elle allait jouir. Je me suis déchaîné. Nous avons crié ensemble.
    
    Quelques minutes ...
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