1. Une erreur de la nature...


    Datte: 16/07/2018, Catégories: fh, amour, sf, fantastiqu, merveilleu, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... pour toi.
    — C’est très gentil, mais il me semble bien qu’on s’était mis d’accord…
    — Oui, je sais. Mais ouvre, tu verras.
    
    À l’intérieur du paquet, il y a une paire de menottes.
    
    — Ah ? Et à quoi ça sert ?
    — Ben, d’abord, ce ne sont pas des accessoires de jeu mais de véritables menottes de flics, à l’épreuve d’à peu près n’importe quoi.
    — J’avoue que je ne comprends pas.
    — Je vais t’expliquer. Retourne-toi, s’il te plait.
    
    De ma main valide, je lui attache les deux poignets dans le dos, puis la retournant de nouveau, je m’embrasse à pleine bouche. Elle est surprise, mais ne refuse pas mon baiser.
    
    — Maintenant, tu vois, si d’aventure la fille que j’aime avait envie de faire l’amour avec moi, je ne vois pas comment elle pourrait m’arracher un bras ou quoi que ce soit d’autre.
    — C’est si solide que ça, ton truc ? demande-t-elle, coquine.
    — Oh, il n’y a qu’un moyen de le savoir, il faut tester…
    
    Bien entendu, en l’espace d’un instant, nous nous retrouvons sur le lit. Je lui ai simplement retiré son jean et sa culotte, et je suis en pleine séance de léchage de minou. Visiblement, elle adore, et son orgasme qui pointe à l’horizon en est la preuve. Lorsque celui-ci arrive, le feulement de bête blessée de Tracy est à deux doigts de faire trembler les murs.
    
    — Tu es vraiment certain que ces menottes vont tenir le coup ?
    — Il paraît qu’on peut tracter une voiture avec, c’est écrit sur la notice.
    — Alors, prends-moi. Cette fois, je t’en donne l’autorisation.
    — Tu ...
    ... es certaine ?
    — Oh oui, alors. Cela dit, si ces bracelets venaient à céder, barre-toi, et barre-toi vite. Sinon, je ne réponds de rien.
    
    Là encore, il est des invitations que l’on se voudrait de ne pas accepter. C’est bien connu, dans ce genre de plan, les hommes ont toujours le cœur sur la main.
    
    Alors, sans me presser, je m’installe entre ses jambes, mon sexe dressé se présente à l’orée de son ventre, ça y est, je suis en elle. La dernière fois, on ne peut pas dire que cela avait vraiment été agréable, mais ce coup-ci, ça l’est.
    
    Apparemment, ça l’est aussi pour elle, à en juger par son regard ravi et les petits cris qu’elle pousse, je remarque aussi qu’elle s’efforce de ne pas trop serrer son sexe, et c’est tout bonnement délicieux, à tel point que je me rends compte que je risque de ne pas tenir très longtemps. J’accélère alors la cadence, les cris de Tracy remplissent de nouveau la pièce, et son désormais classique feulement répond à mon cri de jouissance lorsque je me déverse en elle. Nous revenons sur terre, elle est ravie.
    
    — C’est génial, ces menottes. C’est la première fois de ma vie que je fais l’amour sans avoir peur des conséquences. Merci, merci encore. Tu crois qu’on pourra recommencer ?
    — Sans doute, mais pas tout de suite. Je n’ai pas ta condition physique, moi…
    
    ---ooooOoooo---
    
    Les semaines se passent sans anicroche, je dois simplement prendre garde à attacher Tracy à chacun de nos moments coquins, et il y en a pas mal, elle est au moins aussi ...
«12...567...11»