Une erreur de la nature...
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fh,
amour,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... patauges dans telle ou telle matière, font qu’elle est appréciée de tous et notamment de moi.
Par contre, côté bonne humeur, on ne peut pas dire qu’elle soit toujours au beau fixe. On sait tous qu’il y a une bonne raison à cela : quelques mois auparavant, Dylan, le garçon avec lequel elle sortait, a été retrouvé assassiné, le terme massacré étant plus juste. Certes, c’était un con fini doublé d’un blaireau exemplaire, mais il ne méritait naturellement pas un tel sort. Tracy a été interrogée, une enquête de police a été faite, mais cela n’a rien donné, le tueur court toujours.
Bon, comme elle dit, leur idylle était trop récente pour qu’elle ait réellement eu le temps de s’attacher, mais elle en est encore terriblement affectée, on le serait à moins. Inutile de dire que si ce soir, je parviens à sortir avec elle, ce sera vraiment une sacrée performance.
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Ce que ce film racontait, je ne le sais pas trop, puisque j’ai passé la moitié de temps à embrasser Tracy. Nos langues n’ont cessé de se mêler et maintenant que nous sommes dehors, je suis assez fier de pouvoir la prendre par la taille. Bon, là encore, je ne sais pas qui tient l’autre, tant sa force est impressionnante, même quand elle ne s’en sert pas. Quand, pour une raison quelconque, je me retrouve collé contre elle, j’ai surtout l’impression de me heurter à un mur. Cela serait vraiment gênant si, quand je la coince dans un recoin un peu sombre pour l’embrasser, le contact de ses seins qu’elle ...
... écrase contre ma poitrine n’était pas aussi doux et délicieux. Il n’y a pas à tortiller, c’est à la fois une force de la nature et une chouette nana, je suis ravi…
Sans trop y croire, je me risque à essayer quelque chose de plus intime, tant que mes mains glissent sur son cul, elle me laisse faire, mais quand je m’attaque à sa braguette, elle m’arrête.
— On ne va pas aller trop vite, s’il te plait. Je ne suis pas contre, mais ne brûlons pas les étapes. On a du temps devant, nous, non ?
Là-dessus, c’est elle qui me colle contre le mur et qui m’enfonce sa langue jusqu’aux amygdales.
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Les jours passent, les soirées aussi. Elle est bien gentille, Tracy, mais moi, j’ai passé l’âge du touche-pipi, auquel je n’ai même pas droit, accessoirement. Je m’en émeus auprès d’elle.
— Je sais, moi aussi j’ai envie de toi, mais c’est compliqué.
— Dylan ?
— Oui, mais pas seulement. Bon, écoute, si tu veux, je te suce, je te sucerai à chaque fois que tu voudras, mais ne me demande rien d’autre. C’est d’accord ?
— Mais…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, elle vient de s’agenouiller, et d’un geste précis, elle a sorti l’objet. Quelques allers et retours sur ma queue, elle m’embouche, c’est délicieux. La façon qu’elle a de faire virevolter sa langue sur mon gland est fantastique, j’en vois des étoiles. Et quand elle m’aspire, là encore, sa force peu commune se manifeste, j’ai l’impression que me roubignolles vont finir dans sa gorge tellement elle y va ...