1. Home by the sea


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, inconnu, bizarre, Oral pénétratio, fantastiqu, Auteur: Bloodflower, Source: Revebebe

    ... récit :
    
    « Je suis le propriétaire de cette demeure et je vivais à cette époque exquise où, quand on était issu de la noblesse, on avait tous les droits. Et, étant donné la fascination que j’exerçais sur la gent féminine, je menais une vie de débauche. La seule ombre au tableau était, hélas, que cette fascination était telle que bien souvent ces demoiselles ne voulaient plus me quitter. Mais, le monde étant peuplé de tant de créatures exquises, qu’il m’était inconcevable de me contenter d’une seule. Mais elles, elles me voulaient pour elles seules, elles voulaient me rendre heureux. Souvent, elles me disaient qu’elles désiraient rester avec moi toute leur vie, jusqu’à leur dernier souffle. Alors je décidai d’exaucer leur souhait. Et comme elles étaient encore dans l’extase, je les pourfendais en plantant ma dague dans leur corps trempé de sueur.
    
    Au début, ce n’était que par pure nécessité, puis bientôt, je commençai à y prendre goût. Je prenais du plaisir à leur faire l’amour, et encore plus à transpercer ensuite leur corps, à entendre leurs cris, leurs suppliques pour que je les épargne et leur douleur. J’exultais de voir leur sang chaud gicler, m’inonder. »
    
    Pendant qu’il me racontait tout cela, des visions effroyables passaient devant les yeux : des corps de femmes mutilés aux entrailles béantes, leur bouche tordue par la douleur, leurs yeux remplis d’effroi. Et le sang ! Oh tout ce sang ! Partout ! Je sentais son odeur. J’entendais leurs cris de douleur. Toutes ses ...
    ... innocentes victimes étaient là, autour de nous. Je sentais leur présence. Il continua son récit :
    
    « C’était devenu ma drogue, j’avais besoin de cela, et de plus en plus souvent. Je faisais de plus en plus de victimes : filles de marin, filles de paysans, petites bourgeoises, peu m’importait, du moment qu’elles me donnaient du plaisir, en les baisant puis encore plus en les tuant, ce que je faisais en prenant un peu plus mon temps à chaque fois, les torturant et faisant durer leur agonie. J’étais d’une des plus puissantes familles du pays, je ne craignais ni Dieu, ni les hommes et rien ne pouvait m’arrêter. Du moins, c’est ce que je croyais, mais j’avais tort.
    
    Un soir que j’étais seul, ma porte fut forcée par une horde de paysans qui avait été levés par cette horrible vieille femme dont j’avais tué la fille quelques semaines auparavant. D’abord ils me rouèrent de coups avant de me maîtriser. La vieille était hystérique, elle hurlait que j’étais un monstre, le diable en personne, que j’allais payer pour tous mes crimes. Elle voulait aussi que je rende tous les corps pour qu’ils puissent leur donner une sépulture et le repos éternel. Je lui dis donc qu’elle trouverait sa fille et toutes les autres catins au sous-sol, qui était devenu au fil du temps un vrai cimetière. Elle s’empara alors de ma dague encore rouge du sang de ma dernière conquête, la leva et, avant de l’abattre, proféra ces maudites paroles :
    
    — Je te condamne à rester enfermé dans cette demeure maudite, à ...
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