1. Home by the sea


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, inconnu, bizarre, Oral pénétratio, fantastiqu, Auteur: Bloodflower, Source: Revebebe

    ... l’intérieur, je me cambrai pour que cette caresse fût plus profonde encore. Je haletai, je gémissai. Sa langue, à présent, ne quittait plus mon clitoris, bientôt prêt à exploser de plaisir. Il mit un deuxième doigt en moi. Je me cambrai encore plus, ma respiration s’accéléra. Je sentais monter en moi un plaisir intense et violent au fur et à mesure des mouvements rapides de sa langue. Une onde électrique me parcourut tout le corps, mes gémissements devinrent des cris tellement l’orgasme fut puissant. Je retombai, essoufflée, dans les draps.
    
    Je le regardai, il me souriait. Dans ses yeux semblaient brûler des flammes. Son pénis était à nouveau dur et énorme et j’étais ouverte, écartée, impatiente de le recevoir. L’orgasme qu’il venait de me donner n’avait fait qu’augmenter mon désir d’être à lui. Je sentis enfin son sexe énorme entrer en moi et commencer à bouger lentement. J’enserrais ses hanches avec ses jambes pour que sa pénétration fut plus profonde, j’accompagnais ses mouvements par autant de coups de reins, jusqu’à parfois les devancer et les faire s’accélérer. Il saisit alors une de mes jambes, la leva et la mit sur son épaule. Il fit de même avec l’autre. Il m’asséna alors de puissants coups de reins qui me déchiraient littéralement. Le plaisir arrivait, me submergeait, se retirait en laissant place instantanément à une autre vague. Mes cris couvraient le bruit des vagues sur la plage. Je m’agrippais aux montants du lit. Tout mon corps était tendu, je n’avais ...
    ... jamais connu un plaisir si intense. Bientôt, il me rejoignit dans cet orgasme et je sentis sa semence se répandre en moi tandis que ses cris de plaisir se mêlèrent aux miens.
    
    Cet orgasme, au lieu de nous rassasier, avait attisé notre désir. Nous continuâmes à faire l’amour pendant des heures, on ne pouvait plus s’arrêter, le plaisir entraînant le désir et le désir, le plaisir. On n’avait de cesse d’être l’un à l’autre, de jouir encore plus. La moralité n’existait plus et je me vautrais avec délice dans la luxure avec lui. Jusqu’au moment où nous nous retrouvâmes épuisés et repus, le corps presque douloureux. Je reposais dans ses bras. Je me sentais bien et j’étais heureuse comme jamais je ne l’avais été auparavant.
    
    Il choisit ce moment-là pour me dire ces mots qui me transpercèrent comme un poignard :
    
    — Maintenant, il va falloir que tu partes !
    — Mais pourquoi ? lui demandai-je, désespérée. Je ne veux pas ! Pas encore, pas maintenant. Il fait encore nuit. Je veux encore rester avec toi, dormir là, dans tes bras.
    — Moi aussi, j’aimerais, mais c’est impossible. Il faut que tu t’en ailles, que tu rentres chez toi, et demain quand tu te réveilleras, tu auras tout oublié de cette nuit.
    — Je ne comprends rien…
    — Je suis maudit, ma belle, damné pour l’éternité !
    — Comment ça ? Dis-moi…
    — J’aurais préféré que tu partes sans poser de questions, cela aurait été mieux pour toi. Mais comme tu veux savoir, alors tant pis, je vais tout te raconter.
    
    Et il commença son terrible ...
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