Une famille formidable !
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
cocus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fdanus,
Auteur: Taz, Source: Revebebe
... Je lui baise littéralement la bouche. Après quelques instants, elle sent ma verge gonfler et, en experte, sait que cela signifie que ma jouissance est proche.
Elle écarte son visage au dernier moment ; la première giclée, blanche et épaisse, se répand entre ses seins. Elle reprend aussitôt mon gland entre ses lèvres et récupère tout mon jus dans sa bouche, puis me lèche le nœud afin de collecter les dernières gouttes de ma semence. Chaque coup de sa langue me fait vibrer de tout mon être.
— Mmmm, délicieux ! me fait-elle savoir.
La lueur dans ses yeux me fait comprendre à quel point elle a aimé me faire jouir en cachette de son mari. Soudain, il se rappelle à notre bon souvenir :
— Chérie, ça va ?
Anne avale les dernières gouttes de mon foutre et lui répond :
— Oui, oui, j’arrive.
À l’aide d’une serviette, elle nettoie nos spermes répandus sur son corps et part le rejoindre en me déposant un dernier baiser sur la bouche. Je n’ose pas bouger pour ne faire aucun bruit.
— Ben, dis donc, tu en as mis un temps !
— C’est de ta faute : tu m’en avais mis partout.
— Comprends-moi ! Tu m’as tellement excité avec ce jeune garçon, aujourd’hui.
— C’est vrai qu’il fait du bien à notre libido.
Je les entends s’embrasser à nouveau. J’en profite pour détaler dans ma chambre. Je me couche et trouve le sommeil rapidement.
—ooOoo—
Le lendemain matin, lorsque je me réveille, Patrick a déjà fini son petit déjeuner et il s’apprête à partir au boulot.
— ...
... Salut, bien dormi ?
— Bonjour, ça va ? Oui, merci.
— Alors, c’est le grand jour ?
— Eh oui, j’ai un peu loupé l’heure ce matin, il faut que je me presse si je ne veux pas être en retard.
— Le café est prêt, tu n’as plus qu’à te servir. Tu sais où se trouvent les couverts ?
— Oui, merci. Bon, je file à la douche.
— OK, à ce soir.
— Bonne journée.
Patrick a quitté la maison lorsque je sors de ma douche. J’ai avalé mon petit déjeuner et me suis habillé, je n’ai plus qu’à récupérer mon sac avant de partir. En repassant dans le couloir, je m’aperçois que la porte de la chambre d’Anne est encore ouverte, et un rai de lumière, au travers des volets, se pose délicatement sur son corps. Je m’arrête quelques secondes pour contempler ce spectacle. Il fait déjà chaud en ce matin de juillet ; le drap léger du lit lui couvre uniquement le bas des jambes, jusqu’aux genoux. Elle porte une petite nuisette en coton, remontée en haut de ses jambes ; l’une des bretelles est tombée sur son bras, laissant entrevoir la chair brunie de l’aréole de son sein droit. Elle est simplement belle.
Non ! Je n’ai pas le temps de m’égarer ce matin, il faut que je parte. Je m’éclipse et pars récupérer mes affaires dans ma chambre. Seulement, ultime épreuve, je dois repasser devant cette porte. Ma conscience me dit de ne pas m’arrêter alors que tous mes sens réclament le contraire. Je choisis finalement le compromis.« Un baiser, simplement un baiser avant de partir… » me dis-je.
Je pousse la porte en ...