Une famille formidable !
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
cocus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fdanus,
Auteur: Taz, Source: Revebebe
... en arrière dans le lit, ne m’a pas remarqué. Il commence de doux mouvements de bassin qui accompagnent ceux de sa femme.
Anne bascule le tronc en arrière et ses ondulations se font de plus en plus marquées. Sa chatte glisse d’avant en arrière sur la queue de son mari. D’un coup, les jambes de Patrick se raidissent et, dans une ultime contraction, son pieu s’enfonce au plus profond du sexe de sa femme, répandant son foutre en elle. Ses yeux toujours rivés sur moi, elle reçoit la semence de son mari en me souriant. Le spectacle est troublant…
Après avoir joui, la queue de Patrick décroît à vue d’œil, et en quelques secondes, alors qu’il est encore en train de reprendre son souffle, c’est une petite verge atrophiée qui sort de la chatte béante de sa femme. Son sperme coule le long de ses grandes lèvres, et je vois le liquide blanchâtre finir sa course dans le sillon de ses fesses. Elle garde délibérément ses jambes largement écartées afin de me faire profiter au mieux du spectacle. Je n’en perds pas une goutte.
Elle se retourne pour embrasser Patrick et lui dit :
— Je crois qu’il faut que j’aille me nettoyer.
Lui, encore à bout de souffle, et visiblement toujours en extase :
— OK, à tout de suite.
Dès qu’Anne m’a rejoint dans le couloir, elle plaque sa main sur l’énorme bosse qui déforme maintenant mon caleçon et elle m’entraîne dans la salle de bain.
— Eh bien, on dirait que ça t’a plu, petit cochon, me chuchote-t-elle.
— Difficile de résister à un tel ...
... spectacle…
Elle me caresse la queue au travers du tissu de mon caleçon, puis y plonge une main.
— Arrête, tu es folle !
— Pff, ne t’inquiète pas ; je suis sûre qu’il dort déjà : c’est toujours comme ça.
Je reste interdit devant son assurance.
— Non, mais même, c’est dégoûtant, il vient juste de te remplir de son foutre.
— Et alors ? Te voilà bien prude d’un seul coup.
Elle pose ses lèvres sur les miennes et me roule un patin d’anthologie, puis elle reprend :
— Mais de toute façon, qui t’a parlé d’emprunter les mêmes voies que Patrick ? Tu sais, les femmes sont pleines de ressources…
Elle s’accroupit devant moi et me lèche la queue de bas en haut en donnant de petits coups de langue sur mon gland à chaque passage, ce qui a pour effet de me raidir un peu plus à chaque fois. Déjà terriblement excité par la scène à laquelle je viens d’assister, je suis au bord de l’explosion. Elle le sent et me sourit.
— J’ai l’impression que tu ne vas pas tenir longtemps ; c’est moi qui t’ai excité comme ça ? minaude-t-elle.
Elle commence à me caresser les couilles et dépose quelques baisers tout le long de ma bite avant de l’enfourner entièrement entre ses lèvres. Tout en me caressant les fesses, ses mouvements se font de plus en plus amples, au point que mon gland effleure le fond de sa gorge à chaque va-et-vient. N’y tenant plus, je lui attrape la tête et me colle à son visage. Mon gland s’immisce encore plus profond en elle, dans des bruits de succion indécents. ...